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Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam]

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Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] ✻ ( Mer 2 Aoû - 14:48 )

➽ Ce RP se déroule à la période actuelle. Maxine est là depuis déjà 2-3 mois.
Précision : Désolé pour le jeu de mots dans le titre, j’ai pas pu m'en empêcher !  Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] 1459822550





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« Y'a des jours où ça craint un max ! »Samedi, 21h10. Installé sur le lit dans la piaule de ma fille, dos appuyé contre la tête de lit et vitres grandes ouvertes juste en face, je me grille une clope pour évacuer la nervosité qui ne cesse de s'intensifier et de me foutre à cran depuis ce matin. Tu ne m'en voudras pas la môme de fumer dans ta chambre parce que t'as rien à redire vu le mouron que t'es en train de me donner, et puis on sait toi et moi que tu dois sans doute pas te gêner pour fumer en douce dans ta piaule alors pour ce que ça change ... .
Jambes étendues sur la couette, je tapote nerveusement mon téléphone sur ma cuisse. Encore un appel sans réponse. Bon sang ! Depuis ce matin tu as disparu et pas moyen de te joindre, je commence à flipper sévère ... ! Allez, énième tentative, je recompose le numéro en boucle depuis tout-à-l'heure. Je suis même allé faire un tour en ville pour voir si je te trouvais. T'as vraiment que ça à foutre de me faire ainsi tourner en bourrique ?! Ça a déjà été difficile de se faire au fait de découvrir que j'avais une gosse. T'as débarqué dans ma vie du jour au lendemain, sortant tout droit de nul part en clamant que t'étais ma môme, résultat d'une aventure à la suite de quoi ta mère n'a jamais trouvé l'occasion de me révéler qu'elle était tombée enceinte, en même temps la distance y a nettement contribué. Une môme âgée de 24 ans déjà, avec qui j'ai loupé tout un tas de choses ... tellement de choses, trop pour tout dire. Mais quand je dis qu'il a été difficile de m'adapter, ce n'est pas dans le sens négatif. Tu t'imagines bien le choc que la nouvelle a engendrée à elles seule, surtout quand déboule soudain dans ta vie une fille qui semble de la même trempe que le fils. Quoi que point de vue caractère, je suis au moins certain de qui ils tiennent ... . Côté répartie et tempérament, ces deux là se sont retrouvés à la bonne adresse, pas de doute, sauf que si ça faisait déjà quelques étincelles avec Morgan, je te raconte pas ce qu'il en est avec Max. Max pour Maxine Deva Shepperd. La môme est originale dans son genre avec son style et ses cheveux bariolés. Et si ça n'avait été que ça, ça aurait été pas mal ! Mais elle se coltine un méchant besoin de m'en faire voir des vertes et des pas mûres, et je peux te dire que depuis son arrivée - ouais parce qu'elle squatte chez moi, tu penses ! - elle me donne pas mal de fil à retordre. Bon ok j'exagère peut-être un peu, elle ne me rend pas la vie infernale à ce point mais disons qu'en 2-3 mois déjà, elle m'en a fait voir quelques-unes.

Mais présentement, je dois dire que le tour qu'elle me joue n'a rien d'habituel et plus que de l'agacement ou de la colère, elle fait naitre un sentiment de réelle inquiétude chez moi. Je me suis déjà fait du mouron pour Morgan mais c'est différent, lui c'est un mec. La môme elle, a beau être adulte et débrouillarde, je flippe pas mal à l'idée qu'il lui soit arrivé quelque chose ou qu'elle se soit foutue dans un drôle de pétrin.
La tonalité résonne dans mon oreille jusqu'à m'en sembler interminable. J'attrape de ma main libre, la peluche qu'elle traine un peu partout dans la maison avec elle et qu'elle avait à son arrivée. Un espèce de vieux machin qui représente une licorne et qu'elle doit avoir depuis toute gosse j'imagine, vu l'état.
Encore un appel loupé. Plutôt que de raccrocher, je décide de laisser un quatrième message sur le répondeur après en avoir laissé un ce matin et un autre cet aprem et en début de soirée.

- Putain Max ! Je perds définitivement patience là, oublie pour un instant tes vilains tours et magne-toi de rassurer le vieux con que je suis avant de me retrouver mort d’inquiétude dans ta piaule.

Elle va adorer le message ... . Je ferme un instant les yeux et finis par m'assoupir en attendant. C'est la sonnerie de mon portable qui me tire du sommeil bien plus tard alors que je suis étendu sur le lit, la peluche de Max calée contre mon flanc. Je ne regarde même pas qui m'appelle que je décroche déjà. A l'autre bout du fil, il s'agit d'une jeune femme qui se dit amie avec ma fille. Elle a juste rappelé le numéro à l'origine de tous ces appels en absence sur le portable de Maxine. Je t'évite tout le laïus mais en gros, Max et elles ont visiblement passé la journée ensemble puis se sont rendues à une soirée dont elle m'indique l'adresse. C'est à quelques kilomètres de là. Et pour résumer, la fête est partie en vrille et toutes deux sont vraisemblablement trop alcoolisées pour reprendre le volant. Ni une ni deux, je fonce sans réfléchir, bondissant du lit une fois raccroché, choppant ma veste, mes papelards et mes clés dans le hall et grimpant aussitôt dans mon pick-up. Lorsque je regarde l'horloge du tableau de bord, minuit est passé depuis déjà une plombe. Je me suis salement assoupi tout-à-l'heure. Les voisins doivent parfois se demander ce que j'ai à sortir comme ça en trombe en plein milieu de la nuit. Enfin soit. Posant sur le siège passager la peluche de Max que j'ai gardée avec moi sans vraiment faire gaffe, je démarre et prends la direction de la sortie de la ville. Dans un geste qui m'amuse un instant, je cale la peluche contre le dossier du siège à côté de façon à ce qu'elle soit face à la route.

- T'as vu où j'en suis avec les conneries de ta "maitresse" ? Ça craint ! Ça craint même sérieusement. Prie pour qu'on la retrouve pas définitivement pétée comme une huitre ... .

Dans le sens avancé s’entend. Manquerait plus qu'elle soit malade. Parce que dans ce cas là, je te garantis qu'on ne trouvera pas que des chiens abandonnés en bord de route.

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Re: Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] ✻ ( Jeu 3 Aoû - 7:08 )



« Y'a des jours où ça craint un max ! » Max & Sam

Max était partie en soirée, elle n'avait pas prévenu Sam, ne jugeant pas nécessaire qu'il sache où elle se rend et quand. De son point de vue, ce n'est pas parce qu'il est devenu père depuis deux/trois mois qu'il avait un droit d'autorité. Puis Max a 24 ans, elle est majeure et fait ce qu'elle veut, même si elle a déjà adopté cette politique depuis ses 16 ans au grand damne de sa mère.

La fête battait son plein, l'alcool coulait à flot, il y avait de la super musique, Maxine s'éclatait comme une folle en dansant n'importe comment avec son amie. Elle avait même rencontrer d'autres personnes, des hommes assez mignons avec qui elle sympathisait..Ou qu'elle draguait ouvertement plutôt. Son amie en avait un peu marre de la suivre partout et de devoir la gérer, elle aussi elle avait envie de faire la fête. « Max, j'vais aller boire un coup. » lui dit-elle afin de la prévenir. « Fais comme tu veux Riley ! Let's partaaaay tonight !» lui répondit l'arc-en-ciel déjà bien éméchée alors qu'elle passait son bras autour d'un de ses nouveau amis. Elle s'amusait à faire des concours stupides avec eux comme le fameux cercueil ou cimetière qui consistait à faire plusieurs mélanges et à le boire. Maxine eu le droit à de la vodka, du whisky, du rhum, de la bière et du coca. Autant dire qu'une fois son breuvage terminé, elle avait couru aux toilettes pour vomir. Et ce fut l'absence.

Lorsqu'elle reprit connaissance, elle était toujours aux toilettes, couchée par terre. Riley se trouvait à ses cotés, complètement flippé, sans doute du au fait qu'elle aussi avait trop bu et à la panique qu'elle a du ressentir en voyant son amie au sol. De plus dehors c'était partit trop loin, passant d'une simple fête à une rave party.  Remarquant  que Max ressentait toujours les effets de l'alcool et avait du mal à se relevée, elle décida de prendre son portable afin de prévenir quelqu'un pour qu'il vienne les chercher. Elle remarquait plusieurs appels manqués de  " Padre" et même un message vocal, elle décida donc de le rappeler. Elle lui expliqua que la fête avait dégénérée et que Max n'était pas en état de rentrer d'elle même à la maison, et qu'elle elle ne pouvait pas conduire non plus. Elle lui donna donc l'adresse, et raccrocha après qu'il l'ai assurée qu'il allait venir.

Riley passait le bras de Max sur ses épaules et l'aida à se relever. Elle l'emmena dehors, un peu à l'écart de la fête et la fit s'asseoir par terre en voyant que la jeune femme avait du mal à tenir debout. Max tanguait de gauche à droite, les yeux difficilement ouverts. Riley faisait tout pour la faire parler afin qu'elle ne se rendorme pas. Elle obtint surtout des rires dignes d'un phoque et des tapes "amicales" en pleine face. « T'as vraiment de la chance qu'on soit amie sinon je t'aurais abandonnée ici. » lui dit-elle dans un long soupir. Elle fut interrompu par un homme qui s'approchait d'elles, sourire en coin. Il avait l'air dans un autre monde lui aussi.

« Alors mes jolies, qu'est ce que vous faites juste toutes les deux ? Venez faire la fête. » leur dit-il, venant s'accroupir face à elle. « Non merci. » répondit sèchement Riley qui restait collée à Max. Le jeune homme posa son regard sur l'arc-en-ciel en haussant les sourcils. « Elle a l'air sacrément défoncée ta copine, je peux m'occuper d'elle si tu veux. ». « Va te faire foutre ! On veut pas baiser avec toi dégage ! » hurla Max dans un petit moment de lucidité. en le poussant assez fort pour qu'il tombe en arrière, chose qu'il n'a visiblement pas apprécié puisqu'il se redressa et empoigna le bras de Max qui se mit à hurler avec Riley. Il fut interrompu par des phares de voiture qui l'aveuglait, Riley en profita pour lui donner un coup de genoux bien placé et de prendre la main de Max pour se rapprocher de la voiture. L'Arc-en-ciel se stoppa en voyant que la personne qui en sortait n'était autre que Sam, son père. « Putain de merde c'est mon padre ! Planque toi ! » hurla-t-elle avant de se plaquer au sol et de ramper vers un buisson avec la discrétion d'un éléphant. Elle ne risquait pas d'aller bien loin, avec le peu de force qu'elle avait elle s'était étalée sur l'herbe même pas un mètre plus loin tout en lâchant un grognement. « Je ne sais plus quoi faire d'elle.. » soupira Riley à Sam. « Heureusement vous êtes arrivé à temps, il y avait un gars pas loin et j'ai bien cru qu'on allait se faire.. » elle se stoppa, toujours flippé, toujours éméchée, les larmes au bord des yeux.


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Re: Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] ✻ ( Jeu 3 Aoû - 11:14 )




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« Y'a des jours où ça craint un max ! »Voilà où j'en suis ! A taper la discute à sens unique à une peluche ! C'est marrant d'ailleurs car la licorne verse toute seule sur le côté à un moment donné lorsque j'évoque le possible fait que tu sois malade, comme si elle était pris d'un malaise rien qu'à cette idée. Je la replace correctement avec un petit sourire en coin.

- Hep tiens bon, t'es là pour la réconforter je te rappelle, parce que selon l'état où je la trouverais, elle aura besoin de soutien après le savon que je vais lui passer.

Je ne sais pas si mon délire présent tend à prouver que j'ai complètement fondu un plomb à force d’inquiétude mais en tout cas, ça me permet de me détendre  en tournant ainsi la situation à la rigolade et de garder un certain self-contrôle, lequel je risque sans doute de perdre une fois arrivé sur les lieux. D'ailleurs, après un petit temps de route, me voilà enfin sur place. Pas difficile de repérer la maison où se déroule les festivités vu l'animation qu'on perçoit juste en passant devant. Je m'engage directement dans l'allée y menant. Jolie baraque dans le genre, c'est même plutôt une villa. Encore un fils à papa qui organise une fête en l'absence de ses parents. Des fois, malgré les frasques de mon fils, je me dis que je n'échangerais ma relation avec Morgan pour rien au monde, du moins surtout pas pour me coltiner un môme tout gentillet dans le style BCBG. Mine de rien, il apporte de l'animation dans ma vie même si parfois un peu trop, mais avouons que je m'ennuierais certainement sans lui ou s'il était du genre à rester sans arrêt enfermé dans sa chambre devant console ou pc. Et pour le coup, Max est un peu pareil, elle a du caractère à revendre et même si elle m'en a déjà jouées quelques-unes qui m'ont tenu à la limite de sortir de mes gonds, je dois dire que je ne regrette aucunement l'arrivée de cette môme dans ma vie, si ce n'est que j'aurais aimé que ce soit tellement plus tôt.

Tandis que je me gare, j'aperçois Maxine et sans doute l'amie qui m'a passé le fameux coup de fil un peu plus tôt dans la soirée. Un type se trouve près d'elles, je plisse un instant les yeux en le fixant. Toi tu ferais mieux de mettre illico de la distance p'tit gars ... songeais-je à haute voix. Quoi que la miss sait visiblement parfaitement comment s'y prendre pour le faire déguerpir alors qu'elle lui balance un bon coup de genoux dans l'entrejambe. J’en aurais mal pour lui !
Je m'apprête à descendre lorsque je vois Max stopper net non loin du véhicule en semblant percuter qu'il s'agit de moi. Une lueur de panique passe sur son visage et j'hallucine alors deux secondes en la voyant soudain se mettre à ramper au sol jusqu'à un buisson dans une minable tentative pour se planquer.  Je ne peux m'empêcher de pouffer de rire en voyant la scène, un rire qui s'amplifie rien qu'à la regarder ramper de façon totalement grotesque. Je me frappe le front du plat de la main l'air de me demander jusqu'où s'étendra sa bêtise.
Terminant sa course étalée dans l'herbe un peu plus loin, je quitte le véhicule et me dirige vers l'autre fille qui vient à ma rencontre, la saluant par un signe de tête.

« Je ne sais plus quoi faire d'elle.. »

- Tu m'étonnes ... lâchais-je malgré tout encore un tantinet amusé. En même temps, comment veux-tu que je sois encore en colère face à une scène pareille ?!

« Heureusement vous êtes arrivé à temps, il y avait un gars pas loin et j'ai bien cru qu'on allait se faire.. »

- J'ai vu que t'avais su comment calmer ses ardeurs. Pas mal ! Je pense que ses noisettes risquent de s'en souvenir un petit moment.

Je remarque alors qu'elle a limite les larmes au bord des yeux.

- Hep, c'est bon, c'est fini. On va rentrer tranquillement à la maison, dis-je d'un ton rassurant alors que nous nous dirigeons vers Maxine. Merci de m'avoir prévenu, tu as bien fait. Au fait, moi c'est Sam, me présentais-je avant de demander son prénom.

Tandis que nous nous rapprochons de Max, j'entends la môme grogner, toujours étalée dans l'herbe à demi comateuse pour ne pas dire complètement à l'ouest.

- Tu sais que j'aurais presque honte que tu sois ma gosse là ? lâchais-je à Max en m'accroupissant près d'elle. Allez debout, dis-je en tendant le bras pour lui offrir un appui.

Peu de temps après, nous rejoignons le pick-up dans lequel j'installe ma môme à l'avant en la soutenant pour mettre un pied devant l'autre, dégageant la place en posant sa peluche sur le siège conducteur. C'est préférable si elle vient à être malade. Quant à Riley, elle prend place à l'arrière. Je fais le tour du véhicule pour reprendre place derrière le volant. En m'installant je tends la peluche à Max.

- Tiens, je t'ai ramené ton compagnon de toujours. Me demande pas pourquoi, ça risquerait de froisser tes petites oreilles, laissais-je ainsi planer le mystère sur la présence de la peluche dans la bagnole. Évite de gerber dessus, t'avertis-je toutefois.

J'ai bien envie de te dire que si pour l'instant je suis à peu près calme, tu n'échapperas pas à une soufflante plus tard, mais inutile de te mettre la pression pour l'instant même si tu dois te douter de ce qu'il t'attend. Je ne démarre pas tout de suite et me penche sur le pare brise en appuyant nonchalamment mes bras sur le volant, zieutant la maison et l'animation qui y règne par les grandes baies vitrées ouvertes.

- Vous avez un truc à récupérer avant qu'on parte ? demandais-je avant d'arborer un semblant d’inquiétude. Je me tourne vers Riley installée à l'arrière. Tu penses que ça peut facilement dégénérer là-dedans ? Après avoir vu l'autre imbécile vous tourner autour, je me demande si c'est bien raisonnable de laisser la fête se poursuivre en se barrant comme ça. Ça me ferait chier qu'il arrive quelque chose à quelqu'un d'autre.

Bon certes, il y a des tas de fêtes dans le genre, des trucs qui dégénèrent forcément et des abus vu l'alcool et sans doute la drogue qui y circulent, mais si présentement je peux faire quelque chose, autant s'y décider même si je déteste devoir appeler les flics.

- Au fait, vous n'avez pas rencontré d'autres soucis avant que je n'arrive ? J'imagine qu'il y tourne pas mal de drogue. Rien à ce niveau là pour vous deux ? J'te rassure, j'en ferais pas toute une histoire, c'est juste histoire de m'assurer que tout va bine et de pas avoir de mauvaises surprises, dis-je à Riley qui est la plus lucide des deux, quitte à ce que Maxine tire la tronche tandis que je ne pose les questions qu'à son amie.

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Re: Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] ✻ ( Jeu 3 Aoû - 23:03 )



« Y'a des jours où ça craint un max ! » Max & Sam

«Riley. » répondit la jeune femme, faisant un signe de tête afin de lui faire comprendre qu'elle était enchantée de faire sa connaissance malgré les circonstances. « C'est en partie ma faute, j'étais censée rester sobre mais je me suis pris à la fête,puis j'ai perdu Max de vue.» il est vrai qu'en l'entendant parler on s'aperçoit directement que la jeune femme à l'air plus calme et plus mature que Maxine, c'est à se demander ce qu'elles se sont trouver. Sans doute se comprenaient-elles dans d'autres domaines. Riley avait déjà comprit que même si Max lui dit d'aller se faire foutre, elle n'y pense pas vraiment.

Ils se rapprochèrent de miss arc-en-ciel. Cette dernière entendit la voix de Sam lui dire qu'il aurait presque honte qu'elle soit sa gosse. Premier coup, c'était pas le moment de lui sortir une chose pareille, pas dans cet état. « Ta gueule le vieux ! » lâcha-t-elle du tac au tac sous le coup de la colère, bien qu'elle n'avait pas l'air crédible vu la manière dont elle avait mâcher ses mots faute à sa joue écrasée contre le sol. Son paternel l'aida à se relever, elle accepta sa main tendue et restait accrochée à lui jusqu'à la voiture, jusqu'à ce qu'elle fut installée. Sans la moindre gêne elle fit basculer le dossier du siège en arrière pour se trouver presque couchée alors que Riley prenait place à l'arrière. «Tiens, je t'ai ramené ton compagnon de toujours. Me demande pas pourquoi, ça risquerait de froisser tes petites oreilles» lui dit son géniteur en lui tendant sa peluche licorne, peluche que Max prit directement dans ses bras avant de placer le bout de la corne dans sa bouche. Elle avait désormais un oeil fermé, à la limite de s'endormir, mais elle entendait tout ce qu'il se disait. Elle vit que Sam s'était tourné vers Riley et lui posa quelques questions, sans même lui lancer un regard, comme si elle n'existait pas. Cette attitude déplaisant fortement à Max qui se mettait à grogner en s'agitant sur son siège. « Nous n'avons rien oublier » Répondit son amie. «Si vous appelez les flics et que ça remontre jusqu'à nous, croyez moi qu'ils vont nous défoncer. Il vaut mieux les laisser se débrouiller...» Elle avait parfaitement raison, avec ce genre de fréquentation, si on apprend que vous avez appeler les flics pour arrêter la fête, vous êtes définitivement blacklisté, pour ainsi dire vous serez la nouvelle tête de turc des fêtards de la ville. Personne n'ose donc franchir la limite.


«Au fait, vous n'avez pas rencontré d'autres soucis avant que je n'arrive ? J'imagine qu'il y tourne pas mal de drogue. Rien à ce niveau là pour vous deux ? J'te rassure, j'en ferais pas toute une histoire, c'est juste histoire de m'assurer que tout va bine et de pas avoir de mauvaises surprises » demanda Sam, encore une fois à Riley. « .. Max à eu une absence. » répondit la jeune femme avec hésitation. « Il a bien du se passer une heure sans qu'elle ne réponde.. » - « Ferme ta gueule Riley ! » Hurla Max afin de l'interrompre. Ele avait reitrer de sa bouche la corne baveuse de sa peluche. « Pourquoi tu balances ? T'imagine ou pas que t'es en train de parler à mon putain de géniteur ?! Fou pas encore plus la merde ! Et toi " Papa" -mot qu'elle utilise de manière appuyée le plus souvent lors d'une dispute, sinon elle ne le dit jamais à Sam, jugeant qu'il était bien trop tôt et qu'ils n'étaient pas assez proches pour être nommé ainsi de façon sérieuse.- Je suis vraiment ravie que t'ai presque honte que je sois ta gosse, que tu me balance ça en pleine gueule avant de m'ignorer totalement, mais excuses moi c'est pas moi qui a jouer aux cons il y a 24 ans en sautant une minette sans contraception ! Alors maintenant t'a qu'à assumer.. Quoi que si tu veux tu peux adopter Riley vu que t'as l'air de bien l'apprécier. Ah mais j'oubliais, même avec ton fils t'as pas trop assurer non ? T'es pas fais pour être père point barre, alors t'as même pas intérêt à me faire la morale. Encore une fois t'as pas gérer merde.»  Elle était peut-être en bad total, mais elle avait toujours assez de force pour râler. Un silence de quelques secondes vint s'installer dans la voiture. Elle avait été un peu dure dans ses propos, regrettant certains d'entre eux immédiatement après qu'ils aient franchis la barrière de ses lèvres, mais il était trop tard pour faire demi tour.  Riley finit par se racler la gorge en demandant si ils voulaient être seuls un moment. «Non» Répondit sèchement Shepperd.« Démarre juste cette foutue bagnole Sam et ramène la chez elle.»lâcha-t-elle en tournant complètement son corps en direction de la portière afin  de ne voir aucun des passagers de cette voiture.


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Re: Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] ✻ ( Ven 4 Aoû - 10:08 )




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« Y'a des jours où ça craint un max ! »Tu récupères la peluche que je te tends en l'emprisonnant aussitôt entre tes bras, visiblement heureuse de la retrouver. Ta façon de, pour ainsi dire "téter" son petit bout de corne te fait ressembler à une enfant et cette vision m'attendrit un instant en me tirant un sourire discret au coin des lèvres. Je me tourne un instant vers Riley pour lui faire une suggestion mais elle argue que prévenir les flics n'est vraisemblablement pas une bonne idée et elle a raison.

«Si vous appelez les flics et que ça remontre jusqu'à nous, croyez moi qu'ils vont nous défoncer. Il vaut mieux les laisser se débrouiller...»

- T'as raison, je n'y avais pas songé sous cet angle.

Tapotant le volant d'une main, toujours tourné vers Riley, je traduis une certaine inquiétude quant à ce qui a bien pu se produire durant la soirée. Riley m'informe alors que tu as eu une absence à un moment donné. J'arbore une moue pour le moins soucieuse tandis que tu réagis soudain en beuglant après ton amie, l'enjoignant à fermer sa gueule.

- « Pourquoi tu balances ? T'imagine ou pas que t'es en train de parler à mon putain de géniteur ?! Fou pas encore plus la merde ! Et toi " Papa"

- Hey oh doucement ! dis-je en levant les deux mains pour signifier "calmos".

Mais tu poursuis sur ta lancée visiblement bien énervée, la fureur outrepassant ton état précédent comme nourrie par l'impact des mots de Riley. C'est d'ailleurs marrant cette façon de m'appeler "papa" quand tu es en colère et ça me fait tout drôle.

- Je suis vraiment ravie que t'ai presque honte que je sois ta gosse, que tu me balance ça en pleine gueule avant de m'ignorer totalement, mais excuses moi c'est pas moi qui a jouer aux cons il y a 24 ans en sautant une minette sans contraception ! Alors maintenant t'a qu'à assumer.. Quoi que si tu veux tu peux adopter Riley vu que t'as l'air de bien l'apprécier. Ah mais j'oubliais, même avec ton fils t'as pas trop assurer non ? T'es pas fais pour être père point barre, alors t'as même pas intérêt à me faire la morale. Encore une fois t'as pas gérer merde.»

Un lourd silence succède à tes propos. Je me apsse une main sur le visage et souffle un bon coup.

- Arrête ton délire de persécution, tu sais très bien que j’ai dit ça pour déconner, rebondis-je par rapport au fait de t'avoir taquiné plus tôt en disant que j'aurais limite honte face à ton état. Quant au reste, ça devient fatiguant de t'entendre me cracher à la gueule toute l'estime que tu as de moi.

Je pourrais te dire que les accidents ça arrive dans le feu de la passion ou même que les protections peuvent ne pas jouer leur rôle parfois, mais ça serait immanquablement suivi de toi qui rebondirait sur le terme "accident" en pensant que je te considère comme telle alors que l'image n'a rien de négatif à mon sens. Et une engueulade de ce genre n'a pas sa place en cet instant. Nous sommes en compagnie de ton amie, il est tard et tu n'es pas en état d'entendre ce genre d'explications. Je ne m'attarde donc pas sur les faits tandis que Riley se propose de nous laisser seuls un instant si nous désirons parler. Ce à quoi tu répliques par un "non" ferme avant de m'inviter sèchement à enfin démarrer pour nous casser d'ici.

« Démarre juste cette foutue bagnole Sam et ramène la chez elle.»

- Shepperd, abuses pas trop et ferme-la cinq minutes. J'apprécie pas quand tu m'aboies dessus de la sorte, t'avertis-je perdant une once de calme et en choppant ton doudou pour t'inciter à te le fourrer dans la bouche pour te taire.

Démarrant le moteur et bouclant ma ceinture, je choppe le paquet de cigarette qui traine à portée de main. Il faut vraiment que je me calme parce que je sens que ça va péter malgré moi à peine arrivé à la maison. Heureusement que Morgan dort chez un pote, sans quoi je le vois déjà y mettre son grain de sel à peine arrivés chez nous, et de fait envenimer d'autant plus la situation. Deux sales gosses, ce serait définitivement trop pour ce soir et cette foutue journée de merde que j’ai passé à m’inquiéter pour toi. Nous déposons bientôt Riley chez elle. J'attends qu'elle entre dans la maison avant de me remettre en route, direction Haywood Hill. J’ai beau griller clope sur clope, la nervosité et l'agacement ont raison de moi après un certain temps de trajet à ruminer tout ça. J'attire ton attention en te donnant une tape sur l'épaule.

- Tu sais au moins combien je me suis fait du mouron pour toi depuis ce matin ? Mais j'oublie, c'est vrai, à tes yeux j’en ai rien à foutre ! Je t’accueille chez moi parce que je m'y sens obligé aussi peut-être ?! Tu comprends vraiment que dalle Max. Je conclus mes propos ainsi alors que je m'engage dans l'allée devant chez nous et coupe le moteur. Je t'ai laissé des messages, tu les écouteras avant de juger si j’en ai rien à carrer, suggérais-je.

Descendant du véhicule, j’en fais le tour pour venir t'ouvrir la portière de ton côté et t'aider. Bon sang, je n’en montre pas grand chose certes, mais je n'aime pas te voir comme ça. Et je risque de veiller une bonne partie de ce qui reste de la nuit à te surveiller au cas où tu te sentirais encore plus mal à un moment donné. Quelque chose de grave aurait pu t'arriver. Et je ne supporterais pas qu'il t'arrive quoi que ce soit parce que même si t'as débarqué depuis tout juste 2-3 petits mois dans ma vie et même si jusqu'ici on a pas encore eu l'occasion de vraiment apprendre à se connaitre ou partager de vrais moments complices, l'attachement et l'intérêt que j'ai pour toi n'ont rien de forcés. T'es ma môme et quelque soit les tours que tu me joueras à l'avenir ou ta façon de m'envoyer paitre à tout bout de champ, je ne regretterais jamais que tu te sois ainsi fait une place dans ma vie.

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Re: Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] ✻ ( Sam 5 Aoû - 5:03 )



« Y'a des jours où ça craint un max ! » Max & Sam

Elle décida de ne rien ajouter et de continuer à mâchouiller la corne de son doudou en observant les lumières de la ville défilés. Elle finit d'ailleurs par s'endormir, trop épuisée,alors que Riley indiquait la route à Sam pour rentrer chez elle. D'un coté c'était rassurant pour l'amie, au moins il n'y avait pas un silence de mort. Voir ainsi Max laver son linge sale devant elle l'avait mise quelque peu mal à l'aise, même si elle comprenait le point de vue des deux cotés et que Max lui avait déjà fait un résumé rapide de la situation. Elle pensait que Sam se sentait moins concerné qu'en ce moment,qu'il n'en avait vraiment rien à faire de sa gamine, mais aux premiers abords ça n'avait pas l'air d'être le cas. La jeune femme décida de ne rien dire là dessus, cela ne la concernait pas, elle se contenta de remercier Sam une fois arrivée chez elle et de rentrer aussi vite que possible.

Lorsque Sam donna une tape sur l'épaule de Max, cette dernière se mit à sursauter avant de grommeler, prise d'un violent mal de tête et de nausée. «Tu sais au moins combien je me suis fait du mouron pour toi depuis ce matin ? Mais j'oublie, c'est vrai, à tes yeux j’en ai rien à foutre ! Je t’accueille chez moi parce que je m'y sens obligé aussi peut-être ?! Tu comprends vraiment que dalle Max. » lui balance-t-il alors qu'elle était encore à moitié endormie. Elle lâcha la corne de sa peluche, fusillant du regard son géniteur.«Je t'ai laissé des messages, tu les écouteras avant de juger si j’en ai rien à carrer.
- J'en sais rien, tu fais chier Sam ! On est vraiment obligé d'en reparler maintenant ? Très bien. Tu t'es soit disant inquiété, whooa félicitation, tu veux une médaille pour ça ? Tu m'accueille chez moi parce que je suis sortie de tes couilles vieux. Et t'as pas intérêt à me perdre parce que Maman elle te tuerait dans ce cas. Ne me fais pas le speech du "Tu comprend pas" ou bien " tu peux pas comprendre" etc.. J'ai 24 ans, je suis plus un bébé, si t'as un truc à me dire alors dis le moi. Quant à  tes messages très bien, on va les écouter à la maison si ça te fais plaisir.» lui répondit-elle, ou plutôt avait-elle beugler entre quelques railleries faute à sa petite tête qui avait l'air d'imploser.

Il l'aida à sortir de la voiture, aide qu'elle accepta parce qu'elle ne se sentait pas l'envie de faire le moindre effort physique. Mais à peine debout, elle sentit qu'elle était sur le point de vomir, elle poussa donc Sam avant de littéralement dégobiller sur le trottoir. Fort heureusement ce fut un court instant, et autant dire qu'on pouvait s'apercevoir que maline comme elle est, elle avait bu comme un trou sans manger. Elle se redressa bien vite, essuyant la sueur qui perlait son front avant de se diriger vers l'appartement, s'appuyant sur la voiture dans un premier temps. Finalement elle demanda à Sam de l'aider jusqu'à ce qu'ils soient enfin chez eux. Max ne perdit pas de temps et se dirigea dans la salle de bain afin de se débarbouiller et surtout de se laver les dents. Elle revint quelques instants plus tard, les yeux noirs à cause du maquillage qui avait couler lorsqu'elle s'est passé un coup sur le visage. Elle avait enfiler un t-shirt bien trop grand pour elle ainsi qu'un short, puis elle s'installa sur le canapé du salon, sa peluche ainsi que son portable en main. Elle s'alluma une clope sans la moindre gêne avant de consulter sa messagerie vocale, défiant Sam du regard. « Putain Max ! Je perds définitivement patience là, oublie pour un instant tes vilains tours et magne-toi de rassurer le vieux con que je suis avant de me retrouver mort d’inquiétude dans ta piaule. » Ce message était précédé de quelques autres. Bien sur en les entendant Max ne put maintenir le regard de son père, trop occupée à se retenir de sourire bêtement face à l'inquiétude certaine dont il faisait preuve. «J'suis pas morte tu vois bien. » lança-t-elle d'un air moqueur, comme si elle n'en avait rien à faire, crachant la fumée de sa cigarette. « T'façon je suis sûre que tu te demande quand je vais repartir. C'est évident que je te rend la vie dure depuis que je suis là, même ton autre gosse il m'aime pas. Parfois j'me demande pourquoi j'ai pas fais comme les autres gamines qui souffrent de l'absence de leur père : Vivre avec. Me trouver un mec qui a deux fois mon âge et me marier avec afin de combler un manque affectif de la part d'une figure masculine, devenir à mon tour mère, voire carrément poule pondeuse à force de me faire sautée,  et je forcerait mon mari à rester avec moi pour pas que mes enfants subissent la même chose même si il ne m'aime plus, au final il m'aurait trompée avec toutes les salopes de la ville  et on finira par divorcer une fois les gosses devenus des ado et je deviendrais énorme, bouffant n'importe quoi pour de nouveau combler mon manque affectif, mes mômes se barreront en me laissant seule, me traitant de grosse vache et de mauvaise mère, et comme c'est mon mari qui apportait le fric je finirais pute, à cracher mes poumons parce que je fume quatre paquets par jour et à déglinguer mon foie en ingurgitant une cave à vin à moi toute seule. J'en ai de l'imagination hein ? Mais au lieu de ça j'ai surement été aussi débile  que toi sur certains points..Et lâche parfois. » Elle finit par se taire, visiblement pas prête et surtout pas en état pour en dire d'avantage. « T'façon qui me dis que t'aurais assumer si tu m'avais connue plus tôt.. Vu les réactions de Morgan je me dis que ça n'aurais rien changer. Enfin bref. Je sais pas y'avait quoi dans ce foutu cercueil mais plus jamais je ne referais de mélange, apparemment ça me rend trop bavarde. Dis le vieux t'aurais pas un médoc ? »

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Re: Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] ✻ ( Sam 5 Aoû - 12:33 )




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« Y'a des jours où ça craint un max ! »J'ai sans doute mal choisi le moment pour te faire part du mouron que je me suis fait pour toi toute la journée. Tu me craches avec véhémence tout ce que tu penses, la voix quelque peu embrumée.

- J'en sais rien, tu fais chier Sam ! On est vraiment obligé d'en reparler maintenant ? Très bien. Tu t'es soit disant inquiété, whooa félicitation, tu veux une médaille pour ça ? Tu m'accueille chez toi parce que je suis sortie de tes couilles vieux.

A cette mention, je t'avertis d'un signe en agitant un doigt que je pointe dans ta direction, de veiller à ne pas aller trop loin dans tes propos.

- Et t'as pas intérêt à me perdre parce que Maman elle te tuerait dans ce cas. Ne me fais pas le speech du "Tu comprend pas" ou bien " tu peux pas comprendre" etc.. J'ai 24 ans, je suis plus un bébé, si t'as un truc à me dire alors dis le moi. Quant à  tes messages très bien, on va les écouter à la maison si ça te fais plaisir.»

- Tu fais chier avec ta foutue rancœur à la con ! Quoi que je dise, y'a rien à faire pas vrai ?

Putain, comme si c'était moi le fautif ?! Merde ! Fais chier ! C’est bien ta mère qui a décidé de te cacher ou plutôt de nous cacher à tous les deux l'existence l'un de l'autre. Je pourrais te dire ça mais tu arguerais que je rejette la faute sur elle pour mieux me protéger et je n'ai pas envie de m'égarer sur le sujet de ta mère et des circonstances qui nous ont mené là.

Tandis que nous arrivons à la maison, je fais le tour du véhicule pour venir te prêter main forte. Tu acceptes mon aide, consciente du peu d'équilibre auquel tu risques d'être sujette, te soutenant ainsi d'un bras que je glisse autour de toi. La seconde suivante, tu me repousses soudain brusquement en te dégageant et je crois alors que tu as finalement décidé que tu ne voulais pas de mon aide avant de voir que tu rends tes tripes sur le trottoir. Je reste à l'écart, on sait tous combien on déteste en général que quelqu'un vienne se précipiter à ce moment-là derrière nous comme dans une foutue tentative de soutien qui n’apporte rien si ce n’est se sentir plus mal à l'aise encore.
Alors que tu te redresses, tu empruntes toute seule l'allée qui mène à la maison. Lynch et Ashley, les deux Bouviers Bernois déboulent par la trappe qui fait la liaison entre le garage et le jardin mais je les arrête d'un geste en leur faisant signe de s'écarter. Se faire bondir dessus par deux chiens excités n'arrangera pas ton état ni ton équilibre. Elles semblent d'ailleurs le comprendre à te voir tituber de la sorte et je viens te soutenir par le bras sur les derniers mètres, ta peluche que j’ai récupéré plus tôt en descendant du véhicule, dans l'autre main.

Une fois à l'intérieur, tu prends aussitôt la direction de la salle de bain. De mon côté, je fais un tour par la cuisine et te rejoins dans le salon, ramenant des biscuits avec moi. Manger un peu te fera sans doute du bien. Les yeux cerclés du noir qui a un peu bavé sous tes yeux et vêtue d'un t-shirt un peu trop grand accompagné d'un short, tu as pris place dans le canapé, portable en main et peluche à proximité, fumant une clope en t'apprêtant à écouter ta messagerie.
Je plisse un instant les yeux en te regardant, m'installant dans le fauteuil en face avant de me pencher pour récupérer le paquet sur la table basse et m’en griller une également. Je me plante ordinairement à la fenêtre pour fumer mais tant pis pour ce soir. J'observe un instant tes traits alors que tu écoutes ta messagerie.

«J'suis pas morte tu vois bien. » lances-tu finalement, railleuse. « T'façon je suis sûre que tu te demande quand je vais repartir. C'est évident que je te rend la vie dure depuis que je suis là, même ton autre gosse il m'aime pas. Parfois j'me demande pourquoi j'ai pas fais comme les autres gamines qui souffrent de l'absence de leur père : Vivre avec. Me trouver un mec qui a deux fois mon âge et me marier avec afin de combler un manque affectif de la part d'une figure masculine, devenir à mon tour mère, voire carrément poule pondeuse à force de me faire sautée,  et je forcerait mon mari à rester avec moi pour pas que mes enfants subissent la même chose même si il ne m'aime plus, au final il m'aurait trompée avec toutes les salopes de la ville  et on finira par divorcer une fois les gosses devenus des ado et je deviendrais énorme, bouffant n'importe quoi pour de nouveau combler mon manque affectif, mes mômes se barreront en me laissant seule, me traitant de grosse vache et de mauvaise mère, et comme c'est mon mari qui apportait le fric je finirais pute, à cracher mes poumons parce que je fume quatre paquets par jour et à déglinguer mon foie en ingurgitant une cave à vin à moi toute seule. J'en ai de l'imagination hein ? Mais au lieu de ça j'ai surement été aussi débile  que toi sur certains points..Et lâche parfois. »

- C’est bon, t'as finis ton monologue ? glissais-je pour le moins étonné de te voir t’épancher de la sorte. Je tire sur ma clope et prends le temps de recracher la fumée l'instant suivant avant de poursuivre. Tu penses vraiment que je veux te voir dégager d'ici ? Tu m'as bien regardé ?! dis-je un brin amusé l'air de dire ce qui suit alors. Avec le caractère que je me cogne, tu crois pas que si c'était le cas tu serais déjà retrouvée illico dans les jupes de ta mère ?

Je secoue la tête de gauche à droite en laissant échapper un soupir. S'il y a un truc qu'on me reproche en général, c'est d'être trop honnête et trop direct, bien loin d'être du genre à me forcer face à quoi que ce soit.

- Max ... c'est pas ton cirque qui aura raison de ma volonté. Je n'agis pas par culpabilité ou quoi que ce soit d'autre dans le genre. Quant à Morgan, il est juste possessif. Ça lui passera. Tous les deux vous vous ressemblez beaucoup. Vous n'êtes pas demi frères et sœurs pour rien, je te le dis !

M'installant plus confortablement en tailleur dans le fauteuil, j'appuie un coude sur mon genoux légèrement relevé, clope au bout des doigts dont la fumée s'échappe en formant des volutes qui s'élèvent jusqu'au plafond. Seule la lumière tamisée de la lampe de chevet plus loin sur la commode éclaire la pièce.

- Je ne rebondirais pas sur ton tas de conneries à propos de l'absence d'un paternel et de ses pseudo conséquences. T'es plutôt hard dans ta vision de l'avenir. Quant aux regrets, ils sont là, t'es arrivé dans ma vie avec un délais de retard.

Humpf ... je me demande si tu vas bien interpréter ces propos. D'ailleurs, tu réagis alors aussitôt.

« T'façon qui me dis que t'aurais assumer si tu m'avais connue plus tôt.. Vu les réactions de Morgan je me dis que ça n'aurais rien changer. Enfin bref. Je sais pas y'avait quoi dans ce foutu cercueil mais plus jamais je ne referais de mélange, apparemment ça me rend trop bavarde. Dis le vieux t'aurais pas un médoc ? »

- Assumer ? Pourquoi je le ferais aujourd'hui et pas "hier" ? arguais-je comme une évidence.

Je passe un pouce sur mon menton, l'air dubitatif. Sans un mot de plus, je vais te chercher de quoi te sentir un peu mieux en allant farfouiller dans la pharmacie de la salle de bain située entre les deux étages. Je te ramène le tout accompagné d'un verre d'eau.

- Tiens, prends ça, dis-je en ébouriffant tes cheveux dans ce qui ressemble à une caresse.

Reprenant place dans mon fauteuil, j'ouvre le coffre qui fait office de table basse et y récupère un plaid que je te tends au cas où tu sois gênée par la fraicheur du courant d'air qui circule entre le salon et une autre pièce dont j’ai ouvertes les fenêtres en grand.

- J'aime beaucoup leur couleur tu sais ... te lançais-je à propos de tes cheveux. T'es pleine d'originalité. Je sais pas si tu tiens ça de moi ou de ta mère, quoi que plus jeune, je me prêtais moi aussi à quelques excentricités.

J’ai eu une période pseudo punk adolescent, entre autres choses.

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Re: Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] ✻ ( Dim 13 Aoû - 6:22 )



« Y'a des jours où ça craint un max ! » Max & Sam

La jeune femme tiqua face à certaines de ses paroles. Elle n'avait pas l'impression qu'il comprenait ce que ça fait d'être privé de père, de plus être fille unique, n'avoir que sa pauvre maman qui travaille pour donner de quoi nourrir sa gamine. Comprenait-il ce sentiment de solitude que l'on peut ressentir ? Se dire qu'il manque quelque chose dans sa vie, se demander si il serait capable de l'aimer même si il a rater 22 ans de sa vie. Il ne faut jamais sous estimer le manque d'un parent, car si elle elle s'en est bien sortie, ce n'est pas le cas de tous. « Ouais supeeer, j'ai ton caractère de merde, t'es content ? C'est pas la première fois que je l'entend. J'ai apparemment ton caractère et tes yeux alors voila.  C'est génial d'entendre ce genre de chose. " Tu ressemble à toi père". Sauf que je ne le connaissais pas. Bref,  ne me balance pas que je dis des conneries alors que tu ne sais pas ce qu'il s'est passé dans ma tête. Tu ne me connais pas Sam, tout ce que tu sais de moi c'est que je suis ta gamine.»

Elle était vexée sans doute, blessée par le fait qu'elle ai tenter de manière stupide de s'ouvrir un peu à lui sans obtenir la réponse espérée. Elle tira sur sa cigarette, penchant sa tête en arrière en attendant qu'il lui ramène son médicament. Elle le prit lorsqu'il lui tendit, lâchant un léger grognement lorsque son paternel ébouriffa ses cheveux. « J'aime beaucoup leur couleur tu sais ... » lâcha-t-il en lui donnant un plaid. «T'es pleine d'originalité. Je sais pas si tu tiens ça de moi ou de ta mère, quoi que plus jeune, je me prêtais moi aussi à quelques excentricités.» Elle leva les yeux au ciel. Se demandant si il cherchait des points communs entre eux maintenant, quoi que ça ne serait pas de refus d'en apprendre un peu plus sur lui «J'ai du mal à voir Maman excentrique. Elle est toujours droite, polie et diplomate. La première fois que j'ai colorer mes cheveux c'était en bleu et j'ai bien cru qu'elle allait faire une crise cardiaque, j'te parle même pas des tatouages.. Elle était comme ça aussi avant ? . Et toi ? C'était quoi tes "excentricités " de jeunesse ? » Elle se disait qu'il s'était sans doute fait un petit piercing et qu'il avait du enchaîner les filles, ou bien jouer le bad boy genre manteau en cuir et moto harley davidson. Peut être que même elle elle craquerait pour ce genre de bougre, bien qu'elle s'était majoritairement tapée des gosses de riches.


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Re: Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] ✻ ( Lun 14 Aoû - 12:12 )




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« Y'a des jours où ça craint un max ! »Décidément je m'y prends mal avec toi tandis que tu rebondis d'un air vexé, arguant aussitôt que :

« Ouais supeeer, j'ai ton caractère de merde, t'es content ? C'est pas la première fois que je l'entend. J'ai apparemment ton caractère et tes yeux alors voila. C'est génial d'entendre ce genre de chose. " Tu ressemble à toi père". Sauf que je ne le connaissais pas. Bref, ne me balance pas que je dis des conneries alors que tu ne sais pas ce qu'il s'est passé dans ma tête. Tu ne me connais pas Sam, tout ce que tu sais de moi c'est que je suis ta gamine.»

Je lève les mains comme pour dire de baisser les armes et laisse échapper un soupir alors que je me passe un instant la main dans la nuque puis je vais récupérer un medoc pour soulager en partie ton mal et te laisser un instant tranquille afin de dissiper cette tension entre nous. A mon retour, je passe une main dans tes cheveux en les ébouriffant gentiment, traduisant que j'aime bien ton style et ouvrant sur quelque chose que je regrette un instant en repensant à tes propos d'un court instant plus tôt alors que je m'interroge sur lequel de nous deux entre moi et ta mère tu as puisé ton originalité.

«J'ai du mal à voir Maman excentrique. Elle est toujours droite, polie et diplomate. La première fois que j'ai coloré mes cheveux c'était en bleu et j'ai bien cru qu'elle allait faire une crise cardiaque, j'te parle même pas des tatouages.. Elle était comme ça aussi avant ? Et toi ? C'était quoi tes "excentricités " de jeunesse ? »

- Nope, affirmais-je par rapport à ta mère. Elle n'était pas non plus du genre fofolle mais je ne reconnais pas pour autant la façon dont tu la dépeins. Elle a sans doute changé avec le temps et en devenant maman.

je songe un instant à cette responsabilité qu’elle a décidé d'assumer seule en me cachant ton existence. Quant à ta question à propos de moi, je te raconte le genre de conneries qu'on faisait avec mes frangins, plus jeunes. J'évoque mon look de ma période punk, look que je me coltine encore parfois avec quelques t-shirts que j'ai gardé et qui me vont encore ou d'autres que je déniche dans une boutique sympa dans le centre ville. Je me remémore un souvenir que je partage avec toi alors que je te parle du coup où je me suis teins les cheveux en vert flashy.

- A l'époque, je les avais coupés ras sur les côtés, j'étais un peu plus blond que maintenant, dis-je alors que mes cheveux avec le temps tirent désormais sur le châtain foncé. Et le reste était un peu plus long sur le dessus, ça formait une petite crinière ramenée en arrière avec laquelle Deeklan, un de tes oncles, s'est amusé un coup à faire une crête qui partait avec des pics dans tous les sens. Il a fallu une bombe entière de laque. Attends je dois encore avoir des photos, dis-je en me redressant pour aller récupérer un des albums photos en haut.
En te rejoignant dans le salon avec ce dernier, je viens m'installer à côté de toi sur le canapé et te montre les fameuses photos, songeant que je ne t'ai jamais montré mes frangins en photos de fait. En tournant les pages, l'album posté sur l'un de mes genoux pour le caler entre nous deux, je t'annonce, clope au bec, que le cliché que je tapote du doigt vient d'un délire de Linc qui se lâchait bien à l'époque.

- Ça c’est Linc, ton autre oncle. Cette saloperie a été inspirée par ma fameuse crête verte ce jour-là comme tu le vois, dis-je en pouffant de rire alors que sur le cliché, on me voit endormi sur un fauteuil, complètement avachi après une bonne cuite tandis que Linc s'était amusé pendant mon sommeil à me poser des branchages et du lierre dans les cheveux. D’ailleurs, sur la photo suivante, on me voit en train d'émerger avec un vieil air de pâté de foie sur la tronche avant que mon expression ne se transforme soudain en surprise alors que je sens quelque chose sur ma tête. Ils m'ont prix pour un nid ou une touffe d’herbe ce jour là et crois bien que je leur ai fait bouffer leurs foutues plantes !

Je tire une bouffée sur ma cigarette puis te montre ensuite une photo de Zack, le plus jeune de mes frangins, sur lequel je bondis, accroché à son dos, m'employant à le ruiner de coups, sans réelle colère bien entendu.

- J’ai vraiment hâte de te présenter à eux trois. Mais je ne veux pas que ça te fasse trop d'un coup alors quand tu seras prête, sache qu'ils seront ravis de te rencontrer, dis-je en te regardant dans les yeux, passant le dos de ma main furtivement sur ta joue dans une légère caresse. J'ajoute que. Ne doute jamais de mes paroles quand je te dis que je suis heureux d'avoir découvert ton existence, ok ?

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Re: Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] ✻ ( Sam 2 Sep - 4:11 )



« Y'a des jours où ça craint un max ! » Max & Sam

Il avait raison, ce que Maxine ne disait pas c'est qu'elle se souvenait que sa mère était plus "joyeuse" quand elle était petite, puis il y a eu des moments durs à encaisser pour elle, comme chacun dans la vie, mais ces épreuves l'ont endurcie, de plus le sale caractère de Max et ses écarts de conduite à répétitions lui ont causé du soucis. Enfin bref, la jeune femme écoutait les souvenirs que se remémorait son paternel tandis qu'elle s'allumait une autre cigarette, elle ignorait si c'était la présence de Sam ou bien le médicament mais elle se sentait un peu mieux bien qu'elle se sentait toujours dans un état un peu second, comme une certaine euphorie après la colère. Cette euphorie s’amplifiait en imaginant Sam avec une crête verte, et elle ne pu s'empêcher de sourire bêtement en voyant les photos de l'album qu'il avait apporter. Il partageait enfin des petites parties de lui et ce sans dispute, sans qu'ils aient à lever de ton, et même si elle essayait de ne pas trop le montrer ça lui faisait plaisir. Max prit connaissance de la jeunesse de Sam et de ses délires avec ses frères.Elle pouvait voir ses frères, ces hommes qui se trouvaient être de sa famille, des oncles qu'elle ne connait pas et qu'elle n'a encore jamais vu.

«J’ai vraiment hâte de te présenter à eux trois. Mais je ne veux pas que ça te fasse trop d'un coup alors quand tu seras prête, sache qu'ils seront ravis de te rencontrer. » lui dit-il. Et il n'avait pas tord, déjà que leur relation était conflictuelle alors elle n'imaginait même pas le carnage si ses oncles ont le même caractère. Maxine n'était pas venue pour se disputer avec la famille qu'elle venait enfin de retrouver. Elle venait même à se demander si ses oncles l'aimeraient, après tout elle n'est que le fruit d'une aventure de leur frère. Ils pourraient aussi penser qu'elle est venue par intérêt, pour réclamer un dédommagement pour ces années d'absence. Quoi qu'il en soit la jeune femme ignorait si elle pouvait supporter un sentiment de haine ou même d'indifférence de la part de ces hommes. Cette pensée fit disparaître son sentiment de bien être qui fut finalement de courte durée. Son sourire disparu au fur et à mesure de la profondeur de ses réflexions.

Maxine sortit de ses pensées lorsqu'elle eu un léger sursaut en sentant le revers de la main de Sam sur sa joue, elle ne s'était même pas rendue compte qu'il la regardait dans les yeux et qu'elle faisait de même. «Ne doute jamais de mes paroles quand je te dis que je suis heureux d'avoir découvert ton existence, ok ? »  Ce n'est pas qu'elle en doutait, c'est juste qu'elle ne peut toujours pas imaginer Sam ressentir ce genre de chose à son égard. Après tout elle avait été odieuse avec lui, exprimant de la rancœur qu'elle ne ressentait même pas, pas pour lui en tout cas. Néanmoins elle tenta  d'y croire, pour ce soir, exceptionnellement, juste l'espace d'un instant. Elle hocha la tête avant de cacher cette dernière dans ses genoux une fois sa clope éteinte. Elle repensait encore à tout le temps qu'ils avaient perdu et encore une fois elle sentit de la colère, une sorte de rage qui fit monter ses larmes aux yeux, et en aucun cas elle voulait que Sam se rende compte à quel point cette petite marque d'affection pouvait la touchée. « Je suis pas un bébé, tu n'a pas besoin de me dire ça. » Petite menteuse. « Dis Sam. Si tu savais appris mon existence plus tôt, toi aussi tu aurais tout fais pour me rencontrer ? Si tu avais eu le choix tiendrais-tu les mêmes propos ? »


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Re: Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] ✻ ( Lun 4 Sep - 11:36 )




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« Y'a des jours où ça craint un max ! »Ton expression semble changer alors que je te parle de la hâte que j'éprouve à te présenter tes oncles lorsque tu sentiras le moment venu. Je passe le dos de la main sur ta joue un bref instant pour te dire de ne jamais douter de mes paroles quant à ce que je ressens depuis ton arrivée il y a quelques petits mois de ça. Et ce même si tu t'emploies à m'en faire voir de toutes les couleurs à l'occasion. D'ailleurs, tu hoches la tête avant de me dissimuler un instant ton visage comme si tu craignais que je n'y perçois un léger malaise.

« Je suis pas un bébé, tu n'a pas besoin de me dire ça. » déclares-tu une seconde plus tard d'une petite voix. « Dis Sam. Si tu avais appris mon existence plus tôt, toi aussi tu aurais tout fais pour me rencontrer ? Si tu avais eu le choix tiendrais-tu les mêmes propos ? »

Je me glisse un peu plus près du bord du fauteuil pour t'atteindre et t'incite à relever complètement le visage en glissant un instant mes doigts sous ton menton pour m'assurer d'avoir toute ton attention puis esquisse un sourire en coin.

- Je me serais illico carapaté en Alaska tu veux dire ! dis-je pour plaisanter. Non sérieusement Max, c’est ce que je regrette justement le plus de ne pas t'avoir connue plus tôt et d'avoir ainsi raté ton enfance. J'aurais voulu partager tout un tas de choses avec toi, certaines encore rattrapables aujourd'hui j'imagine, d'autres non. Alors crois-moi, si j'en avais eu l'occasion, j'aurais déboulé chez ta mère pour voir quelle petite bouille de démon tu étais à l'époque.

Une certaine émotion habite mon regard et je viens me poser juste à côté de toi sur le canapé pour t'étreindre entre mes bras.

- Max, t'imagines pas ce que je donnerais pour t'avoir connue toute môme, dis-je dans un murmure alors que je cale ma tête contre la tienne. Tu pourras t'employer à m'en faire voir de toutes les couleurs, je renoncerais jamais à toi, t'es ma môme.

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Re: Y'a des jours où ça craint un max ! [Maxine + Sam] ✻ ( Jeu 5 Oct - 12:35 )

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