What do you want from me ? [Markus]

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What do you want from me ? [Markus] ✻ ( Jeu 12 Juil - 15:40 )






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Je détestais cette période estivale où tout le monde se croyait tout permis parce qu'on était en été. Si vous voulez mon avis, c'était juste une excuse comme une autre pour les employés de cette entreprise de se montrer encore plus fainéants que d'habitude. Heureusement mon assistante Julia n'était pas comme cela, bien au contraire. Evidemment comme les 3/4 des personnes elle avait posé ses congés et justement elle partait ce soir en vacance. Est ce que pour autant elle se relâchait ? Pas du tout, elle faisait même tout pour que je n'ai à m'inquiéter de rien pendant son absence. Elle avait organisé mes rendez-vous pour les 2 prochaines semaines. Si elle avait l'air inquiète de prendre des vacances, personnellement je ne l'étais absolument pas. Bien au contraire. J'avais toujours réussi à gérer ma carrière sans personne, ce n'était pas parce que Julia partait 2 semaines que tout allait être remis en cause. « Julia, inquiétez vous du jour où JE partirais en vacances. Pour l'instant concentrez vous sur les votre et arrêtez de me déranger toutes les 5 minutes » Elle était mignonne et très compétente, mais là elle me faisait perdre plus de temps qu'autre chose. Encore un peu et je serais capable de la renvoyer chez elle pour qu'elle puisse me laisser tranquille. J'avais réussi à lui faire passer l'envie de de venir dans mon bureau et c'était une bonne chose, comme cela j'avais le temps d'envoyer un message à Maximilian pour prendre des nouvelles et surtout de téléphoner à Eliza. Cela faisait un moment qu'on avait pas trouvé le temps de ce faire un petit restaurant, ou même de se retrouver et je voulais m'assurais qu'elle allait bien et qu'elle n'avait pas tué sa toute dernière assistante. Je savais qu'elle regrettais le professionnalisme de Julian et même si elle ne voulait pas me l'avouer, je savais aussi qu'elle regrettais la personne de ce Julian. Si elle me taquinait avec Maximilian, je pouvais en faire autant.
En tout cas cela me faisait du bien de pouvoir parler de tout et rien avec ma meilleure amie. On en venait aussi à parler de boulot. On finissait toujours par en parler et je lui demandais si les vacances étaient aussi un calvaire dans son entreprise. Même si cela ne me rassurait pas, j'étais contente de savoir que nous étions dans la même galère. Pouvoir me détendre de la sorte au téléphone c'était vraiment agréable, mais c'était sans compter sur Julia qui venait m'interrompre. « Je suis à toi dans 2 secondes Eliza » Je posais mon téléphone pour écouter mon assistante. « Je suis désolé de vous déranger Helena, mais un certain Markus Cubbins souhaite vous parlez. Vous n'aviez pas rendez-vous avec lui, mais il insiste. Il dit que son simple nom vous fera accepter. Qu'est ce que je lui dis ? » Que me voulez Monsieur Cubbins. Il était notre principal concurrent, alors je ne voyais pas ce qu'il venait faire ici. « Faites le entrer Julia, je m'en occupe » J'étais curieuse de savoir ce qu'il me voulait. « Je te rappelle plus tard Eliza, j'ai un rendez-vous de dernière minute, mais dimanche je te propose un brunch » Après sa réponse positive, je pouvais raccrocher et reprendre un visage beaucoup plus professionnel pour pouvoir accueillir ce fameux Markus Cubbins.
En tant que principal concurrent de notre entreprise, je me demandais vraiment qu'est ce qui pouvait l'amener ici. S'il comptait me piquer un marché c'était mal me connaître, pourtant à son entrée j'essayais de me montrer courtoise. « Enchantée Monsieur Cubbins. » Lui rappeller mon nom ne servira à rien, sinon il ne serait pas ici. « Vous vous êtes volontaire trompé d'entreprise ? Ou vous essayé de nous espionner ? » Si tel était le cas, il ne fallait pas compter sur moi pour trahir cette entreprise. « A moins que vous ne soyez venu ici dans le but de m'observer pour essayer de donner des conseils à vos propres collaborateurs. » Je savais que j'étais la meilleure dans mon domaine, je savais aussi que beaucoup de monde essayait de me contrer sans jamais y arriver. Je n'étais pas assez idiote pour penser que sa venue était uniquement une visite de courtoisie. Il voulait sûrement quelque chose, mais pour l'instant j'étais incapable de deviner quoi. « Mais je vous en prie installez-vous » Je prenais moi même place en face de lui. Petit sourire aux lèvres, j'étais prête à engager le combat face à lui.  





lumos maxima
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Re: What do you want from me ? [Markus] ✻ ( Sam 21 Juil - 18:02 )

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Markus est contrarié et non aigri. Mais comme c'est un patron un peu très con, il fait passer sa contrariété envers son personnel et aujourd'hui qui prend ? Sa secrétaire, parce qu'elle n'avait pas été foutu de lui rappeler qu'il avait une conférence, et du coup, il s'est préparé pour sa conférence avec cinq minutes d'avance contre quinze la plupart du temps. Il n'avait pas décroché le téléphone qu'elle lui avait dit, mais est-ce que c'était une raison pour lui changer ses habitudes ? Et bien non. Pas pour Markus Cubbins. Il attrapait son téléphone professionnel et consulter son agenda, il devait aller voir la concurrence aujourd'hui et tenter de convaincre Helena Lewandowski de venir travailler pour lui et non plus contre lui. Il ne savait pas vraiment où il allait, mais c'était sûr qu'il allait sûrement dans le mur. Parce qu'elle avait l'air dure en affaires et il était certain qu'il faudrait qu'il use de plus de choses que son sourire ou que sa persuasion dont il est pourtant si fier. Il avait bien réussi à persuader Cassiopée de venir habiter chez elle, pourquoi est-ce qu'il n'arriverait pas à persuader une nana qu'il ne connaît que par le biais d'article ou par la bouche de ses collaborateurs ? Il allait y arriver, il croyait en lui, ou du moins il essayait. Parce qu'aujourd'hui était franchement une journée merdique. Mais ça n'est pas tout à fait assez pour le rendre aigri, il en faut beaucoup plus. Quoiqu'il en soit quand la conférence se termine, il éteint le rétroprojecteur, donne ses directives aux collaborateurs qui étaient avec pour cette conférence, avant de s'enfermer dans son bureau et de se servir un café corsé, regardant l'heure sur sa montre avant de se décider à se changer dans la petite pièce dédié à cela, la où il garde des chemises et costumes propres. Il ressort alors tout propre comme un sou neuf avant de se planter devant le bureau de sa secrétaire et de lui déposer son sac de costume sale « Mettez moi cela au pressing, et aller le récupérer quand ce sera prêt. » Pas un sourire, sa gueule de connard bien présente, il laisse claquer sa langue contre son palet avant de s'enfermer dans l'ascenseur et de pianoter sur son téléphone en attendant d'arriver dans les sous-sols pour monter dans l'habitacle de sa voiture et partir à toute vitesse jusque l'endroit où se trouve les bureaux de sa concurrente, les mains serrées sur le volant. Quand finalement il parvient à se garer, il lisse son costume parfaitement lissé, souffle un bon coup et s'annonce à l'accueil de l'entreprise « Je viens voir Helena Lewandowski, je sais que je n'ai pas rendez-vous avec elle mais merci de lui annoncer que Markus Cubbins est là et qu'il souhaite la voir. Je pense que mon simple nom lui fera accepter de me voir. » Et il attend ce qu'il estime être trop de temps jusqu'à ce que la demoiselle revienne pour lui dire qu'elle l'attendait. Evidemment qu'elle l'attend, comme c'est étonnant « Enchantée Monsieur Cubbins. » Markus arbore un rictus en coin amusé avant de répondre « Mademoiselle Lewandowski. » Rien de plus, rien de moins, bien qu'il est enchanté, il ne préfère pas trop sympathiser avec l'ennemi, on ne sait jamais vraiment ce qu'ils peuvent vous planter dans le dos si ce n'est un couteau. « Vous vous êtes volontaire trompé d'entreprise ? Ou vous essayé de nous espionner ? » Le Cubbins la regarde avec un air étonné sur le visage avant de ricaner un peu, histoire d'éveiller un peu plus la tigresse en elle « A moins que vous ne soyez venu ici dans le but de m'observer pour essayer de donner des conseils à vos propres collaborateurs. » Il secoue négativement la tête l'homme d'affaires et il regarde un peu autour de lui pour tenter de trouver un argument choc pour la faire venir. Et le fait que son bureau sera très certainement deux fois plus grand que celui d'ici peut être un argument de taille   « Mais je vous en prie installez-vous » Markus prenait alors place sur la chaise en face de la demoiselle avant de la regarder, les bras croisés sur sa poitrine pour finir par dire « Non, je ne viens pas ici pour vous surveiller, je ne voudrais pas perdre mon temps en regardant des choses qui sont nettement en dessous de ce que mes collaborateurs peuvent effectuer ne vous en faites pas pour cela. » 3615 je suis le meilleur des cons et un rictus amusé plus tard il continue « Je déteste passer par quatre chemins mademoiselle Lewandowski. » continue t-il en s'enfonçant un peu plus dans le fauteuil de cuir « Si je suis ici aujourd'hui, c'est pour vous proposer un poste de collaborateur dans mon entreprise. Bien évidemment, si je viens vous chercher, vous ne serez absolument pas loger à la même enseigne que les autres. » Il ouvre alors sa veste de costume pour en récupèrer un chèque qu'il balance sur le bureau avec une nonchalance qui ne sied qu'à lui « Est-ce qu'il y a assez de zéros pour vous ? Ou vous voulez que j'en rajoute ? » Parce qu'il pouvait aller très loin, trop loin même.

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Re: What do you want from me ? [Markus] ✻ ( Sam 28 Juil - 18:20 )






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Si je l'avais voulu, j'aurai pu demander à Julia de faire partir ce Cubbins. Non même pas, j'aurai moi-même du sortir de mon bureau pour l'envoyer chier. Après tout, il était mon principal concurrent et la logique aurait voulu que je n'ai aucun contact avec lui. Pourtant ma curiosité avait pris le dessus. Peut-être qu'il voulait faire une alliance contre un nouveau concurrent. Si c'était ça, c'était le genre de plan qui me plaisait. J'aimais écraser les autres avec le bout de mes talons, dommage pour lui je n'étais pas naïve et je savais que le petit nouveau sur le marché était déjà en train de faire faillite. La deuxième option pour expliquer sa présence ici, c'était qu'il voulait tout simplement nous espionner. Si c'était le cas, il ne s'y prenait pas de la meilleure des façons. Pour tout dire, il pourrait simplement proposer de me trahir à l'un des nombreux employés de cette société pour qu'il ait l'embarras du choix. J'étais tellement détesté ici que cela me faisait rire.
En parfaite professionnelle que j'étais, je l’accueillais dans mon bureau, bien décidé à savoir ce qu'il voulait en venant ici et surtout dans l'idée de ne pas me laisser faire. S'il connaissait ma réputation, il savait que je n'avais pas froid aux yeux et que je ne n'allais pas me laisser marcher sur les pieds ?« Mademoiselle Lewandowski. » J'avais depuis longtemps perdu le statut de Mademoiselle. « Madame » Peut-être que ce n'était pas fait exprès, ou alors peut-être que si, mais je préférais moi aussi poser les bases. Surtout qu'il était dans mon bureau et que je n'avais aucune obligation de me montrer sympa avec lui.
Même si je lui proposez de s'installer en face de moi, je n'hésitais pas à lancer les attaques directement. Tourner autour du pote ce n'était pas mon truc. Alors s'il venait ici pour chercher des informations, pour copier notre façon de faire, j'aimais autant le savoir tout de suite. « Non, je ne viens pas ici pour vous surveiller, je ne voudrais pas perdre mon temps en regardant des choses qui sont nettement en dessous de ce que mes collaborateurs peuvent effectuer ne vous en faites pas pour cela. » Je secouais doucement la tête en rigolant doucement. Le genre de rire tout sauf sincère. « Si j'ai bonnes mémoires, sur les derniers dossiers où nous étions en concurrence, j'en ai gagné 3 » Les deux autres qu'on avait perdu face aux collaborateurs de Cubbins, c'était parce que je n'étais pas dessus. Le président de notre société avait trouvé juste de donner sa chance aux autres et on voyait ce que cela avait donné comme résultat. « Je déteste passer par quatre chemins mademoiselle Lewandowski. » Cela tombait plutôt bien, j'étais exactement comme lui. « Voilà qui nous fait un point commun. Je vous écoute » Avec beaucoup d'attention même. Je croisais les bras contre ma poitrine en attendant qu'il parle. « Si je suis ici aujourd'hui, c'est pour vous proposer un poste de collaborateur dans mon entreprise. Bien évidemment, si je viens vous chercher, vous ne serez absolument pas loger à la même enseigne que les autres. » Je m'attendais peut-être à tout sauf à ça. Pour autant je ne laissais paraître aucune émotion et je gardais un visage neutre alors qu'il sortait un chèque et le jetais avec une désinvolture totale. Lentement j'étirais le bras pour l'attraper et j'arquais simplement un sourcil en voyant le montant et je reportais directement mon regard sur Markus. « Est-ce qu'il y a assez de zéros pour vous ? Ou vous voulez que j'en rajoute ? » C'était une blague ? Il pensait qu'il pouvait m'acheter avec 1, 2 ou 3 zéros en plus ? « Vous pensez vraiment pouvoir m'acheter de la sorte ? C'est peut-être une chose courante avec vos autres collaborateurs, mais il faudra faire mieux qu'un chèque pour me convaincre de travailler chez vous » Surtout que même si on ne le ressentait pas vraiment, j'étais très attaché à ma société. J'avais commencé ma carrière ici et j'avais réussi à gravir les échelons au fur et à mesure. Est ce qu'il pouvait me promettre la même chose chez lui ? « J'ai pour ambition de m'élever encore plus haut que je ne le suis déjà. La présidence est dans mon point de vision, qui me dit que chez vous je pourrais atteindre ce niveau ? » Je regardais une dernière fois le chèque que j'avais entre la main pour tout simplement finir par le déchirer. « Votre argent ne m'intéresse pas. » Sinon je serais parti en Allemagne où je pouvais me faire un plus gros salaire. « Faites moi une véritable proposition et peut-être que je pourrais reconsidérer les choses » A mes conditions évidemment, mais je gardais cela pour plus tard.





lumos maxima
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Re: What do you want from me ? [Markus] ✻ ( Jeu 6 Sep - 22:51 )

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Il n'aime pas franchement qu'on lui dise non, Markus. Non, du tout. Il préfère qu'on le fasse mariner et qu'on lui dise oui, plutôt qu'on lui offre un refus. Non, il n'aime pas. Et il la sent comme ça, la demoiselle qui est en face de lui et Markus sait qu'il risque de le prendre plus que mal et qu'il devra passer ses nerfs ailleurs. Pauvres employés qui croiseront son chemin quand il reviendra au bureau. « Madame » Il se laissait glisser contre le dossier du fauteuil, les bras croisés sur son torse un sourire narquois dressé sur le visage. Ah parce qu'elle veut jouer à ça ? « Il me semble mademoiselle Lewandowski que votre divorce a été rendu public ? Ou du moins, on en a assez parlé pour que ça parvienne à mes oreilles. C'est bien triste que votre entreprise n'évite pas que la vie privée de ses collaborateurs reste privée. » Et bim, il est plutôt fier de sa tirade, ce qui le fait gonfler le torse comme un coq trop fier et il sourit, encore, le sourire toujours plus narquois, le regard toujours plus fier. Et elle lance déjà les hostilités, l'homme d'affaire est plutôt heureux qu'elle ne se laisse pas faire, il n'aurait pas envie d'avoir à faire à quelqu'un qui ploie le genou aussi facilement et qui se laisse faire bien trop rapidement, ce serait ennuyeux et Markus n'aime pas les choses ennuyeuses. Au contraire. « Si j'ai bonnes mémoires, sur les derniers dossiers où nous étions en concurrence, j'en ai gagné 3 »  Oui, parce qu'il n'avait pas mit ses meilleures collaborateurs sur le coup et ils avaient pointés au chômage le lendemain de la défaite. Evidemment. Il ne pouvait pas s'entourer de personnes qui sont capables de perdre un dossier imperdable.Et ils avaient eu beau  pleurer, geindre, la sanction avait été la même. La porte, purement et simplement. Il n'avait pas eu envie de faire le gentil, il avait juste eu envie de faire comprendre qu'on ne devait pas le prendre pour un con, parce qu'il risquerait de réellement s'énerver si jamais ça arrivait encore une fois. Et c'était arrivé trois fois. Il sait  bien qu'on dit jamais deux sans trois mais tant pis. « Evidemment, je félicite votre bonne mémoire, mais je me suis séparé des collaborateurs qui me posaient problème, ne vous en faites pas pour moi, je sais faire mon boulot, Mademoiselle Lewandowski. » Il cherche, il le sait, mais il s'en fiche éperdumment, il a envie qu'elle comprenne qu'il est têtu et qu'il ne partira pas sans obtenir ce qu'il désire, ou du moins, qu'il reviendra jusqu'à ce qu'il obtienne ce qu'il veut. Et quand il a toute son attention, Markus balance le chèque comme ça, comme si elle n'était qu'une vulgaire poupée de chiffon.  « Vous pensez vraiment pouvoir m'acheter de la sorte ? C'est peut-être une chose courante avec vos autres collaborateurs, mais il faudra faire mieux qu'un chèque pour me convaincre de travailler chez vous »   Ce qu'il faut qu'elle sache c'est qu'il n'a pas besoin d'aller chercher ses collaborateurs, ils viennent tout seul, comme des grands. Elle serait l'exception qui confirme la règle peut-être mais elle ne semble pas enclin à accepter sa proposition. « J'ai pour ambition de m'élever encore plus haut que je ne le suis déjà. La présidence est dans mon point de vision, qui me dit que chez vous je pourrais atteindre ce niveau ? »  Il ricane un peu en faisant craquer ses phalanges et sa nuque en fermant un instant les yeux avant de les rouvrir, une lueur amusée dans le regard avant de faire claquer sa langue contre son palet « Vous ne me connaissez pas Mademoiselle. Si je veux quelque chose, je claque des doigts et je l'obtiens. Si je veux vous faire gravir des échelons, je n'ai qu'à claquer des doigts et vous pourrez devenir vice-présidente. » Histoire qu'elle comprenne que c'est lui le chef et quand bien même, elle veuille devenir présidente, elle ne serait que son bras droit certainement. Mais il serait capable de lui faire croire qu'il la mettrait sur le même piédestal juste pour qu'elle signe et il rajouterait les petits caractères en bas de son contrat parce que personne ne lit les petits caractères  « Votre argent ne m'intéresse pas. »   Il lève les yeux au ciel quand elle déchire le chèque en deux morceaux distincts avant de l'écouter continuer  « Faites moi une véritable proposition et peut-être que je pourrais reconsidérer les choses  Qu'est-ce qu'elle veut exactement ? « Il n'y a pas de café dans cette entreprise ? » Markus est en manque de café. Et il va être très aigri si ça continue. Mais il reprend ses esprits en se raclant la gorge après avoir réfléchi moins de trois minutes. « Si je vous dit que je vous nomme vice-présidente du conseil ? » Elle n'était même pas cela ici. « Un bureau, des horaires aménagées comme vous le souhaitez et le salaire que vous souhaitez. Dans la mesure du raisonnable évidemment. » Puis une idée lui vient en tête et un sourire lubrique de con se dresse sur ses lèvres « Et un dîner, ce soir, dans le meilleur restaurant de la ville. Ou on peut prendre mon jet et aller à New York si vous le souhaitez. » Histoire de lui montrer qu'elle peut réellement avoir le choix et que ce n'est pas une entreprise de bas étage.

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Re: What do you want from me ? [Markus] ✻ ( Lun 10 Sep - 13:31 )






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Il voulait vraiment marquer son territoire en pissant dans mon bureau pour me dire que j'étais une ''Mademoiselle'' et pas une Madame ? S'il voulait vraiment jouer à ce genre de petit jeu avec moi, il n'allait pas être déçu. C'était dommage pour lui parce qu'au moment de sa venue j'étais ouverte à la conversation, maintenant je l'étais beaucoup moins. « Que mon divorce puisse être prononcé cela ne change rien au fait que je reste Madame au yeux de la loi. Vous devriez réviser vos classiques. » En tout cas si c'était une tentative pour m'impressionner ou pour me faire comprendre que c'était lui le patron c'était loupé. Surtout que dans cet endroit, dans ce bureau personne ne prendrait le dessus sur moi. Maximilian avait essayé une fois et il s'était cassé les dents, ce Monsieur Cubbins n'allait pas être différent.
Surtout qu'il pouvait dire ce qu'il voulait sur ses collaborateurs qui étaient meilleurs que moi, il savait que ce n'était pas vrai. Sinon il ne serait pas dans mon bureau et il ne chercherait pas à parler de chiffres avec moi. Les seuls dossiers que j'avais perdu, c'était les dossiers que notre cher président avait décidé de donner aux nouvelles recrues qui ne savait pas faire face aux imprévus et aux requins adversaires comme je pouvais le faire. « Evidemment, je félicite votre bonne mémoire, mais je me suis séparé des collaborateurs qui me posaient problème, ne vous en faites pas pour moi, je sais faire mon boulot, Mademoiselle Lewandowski. » Voilà qui était une solution bien trop facile à mon goût. Pourtant je devais l'avouer, j'étais la première à utiliser cette méthode ou à montrer du doigt les erreurs des autres pour les humilier et les convaincre de ne plus recommencer. « Vous attendez de moi des applaudissements ? Vous pouvez virer autant de personne que vous le souhaitez, je finirais toujours par gagner les dossiers importants » Ce n'était pas une façon de me vanter, c'était juste une vérité absolue et lui aussi le savait.

D'ailleurs il savait tellement bien que j'étais la meilleure, qu'il souhait me faire signer dans son entreprise. La proposition aurait pu me plaire, voire même me séduire s'il n'avait pas juste jeté un chèque sur mon bureau. Il s'attendait à quoi ? Que je me jette sur lui pour le remercier ? Que je me mette à pleurer parce que j'étais heureuse ? Cela n'allait certainement pas arriver. Je préférais même déchirer son chèque. Je n'étais pas une personne qu'on pouvait acheter avec autant de facilité. J'avais des principes dans la vie. Surtout je n'oubliais pas que j'avais fait toute ma carrière dans mon entreprise actuelle. Je devais ma place à ma seule force et j'en étais fière. Je m'étais battue pour en arriver où j'en étais et on ne pouvait pas dire la même chose de tout le monde ici. « Vous ne me connaissez pas Mademoiselle. Si je veux quelque chose, je claque des doigts et je l'obtiens. Si je veux vous faire gravir des échelons, je n'ai qu'à claquer des doigts et vous pourrez devenir vice-présidente. » Cet homme n'avait sûrement aucune connaissance du genre humain pour penser que ce genre de discours pouvait faire pencher la balancer de son côté ou même lui donner un côté sympathique. « Sauf que je ne suis pas quelque chose qu'on obtient en claquant des doigts. Je suis même une personne qui sait exactement ce qu'elle veut » Et autant dire que tout ce que je voulais en ce moment c'était tout sauf travailler avec cet homme.
S'il voulait vraiment que je travaille pour lui, j'attendais de sa part une véritable proposition, sinon il pouvait tout simplement partir. « Il n'y a pas de café dans cette entreprise ? » D'un simple geste du bras, je lui montrais ma magnifique cafetière. « Si vous voulez un café, il est à votre disposition, vous n'avez qu'à vous servir » Une manière de plus pour moi de lui montrer que je n'étais pas n'importe qui et que je n'allais pas être à ses ordres aussi facilement. « Si je vous dit que je vous nomme vice-présidente du conseil ? » C'était un début, mais j'attendais de voir ce qu'il avait d'autre en réserve. « Un bureau, des horaires aménagées comme vous le souhaitez et le salaire que vous souhaitez. Dans la mesure du raisonnable évidemment. » Autant dire que les horaires je m'en foutais royalement et il devait sûrement le savoir. « Vous devez connaître ma réputation pour savoir que les horaires aménagés ou pas, ce n'est pas ce qui va être déterminant pour moi » Je serais une mère de famille pourquoi pas, mais ce n'était pas le cas et cela ne le serait jamais. « Et un dîner, ce soir, dans le meilleur restaurant de la ville. Ou on peut prendre mon jet et aller à New York si vous le souhaitez. » Il était vraiment sérieux en me proposant cela ? « Que l'on soit bien d'accord sur une chose, vous proposez un dîner à toutes les personnes que vous voulez recruter ? Homme y compris ? Si ce n'était pas le cas – et j'étais sûre que ce n'était pas le cas – il allait entendre parler de moi. « Je pensais avoir une opinion de moi-même qui dépasser l'entendement, mais je peux dire que vous êtes hors catégorie » Et ce n'était pas un compliment. « Je ne dînerais pas avec vous, je ne prendrais pas le risque de planter ma carrière pour un poste que vous me promettais et que je n'aurai peut-être jamais » S'il voulait un kamikaze, il n'avait qu'à aller voir la personne dans le bureau à côté du mieux, mais qui était aussi complètement incompétent. « Je vous le redis, faites moi une véritable proposition et je pourrais considérer votre demande » Dans le cas contraire il était en train de perdre son temps et pire encore il était en train de me faire perdre un temps très précieux.





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Re: What do you want from me ? [Markus] ✻ ( Lun 24 Sep - 23:25 )

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« Que mon divorce puisse être prononcé cela ne change rien au fait que je reste Madame au yeux de la loi. Vous devriez réviser vos classiques. » Markus est agacé, mais il ne perd pas ce sourire moqueur sur les lèvres les mains croisés sur son torse, comme un vieux con. Il soupire un peu et s'autorise un petit rire. Elle a du mordant, il apprécie réellement. Mais il sait que ce sera compliqué à l'avoir de son côté, malheureusement. Il n'est pas fatigable aisément cependant, alors il continuera jusqu'à ce qu'elle accepte de venir ne serait-ce que faire une journée d'essai dans son établissement. Comme si cela pouvait se passer comme ça. Il savait que ça ne se passerait pas de la sorte mais il espérait intimement que ce rendez-vous ferait l'affaire. Mais il n'en est pas bien persuadé. « Vous attendez de moi des applaudissements ? Vous pouvez virer autant de personne que vous le souhaitez, je finirais toujours par gagner les dossiers importants » Alors c'est comme ça ? Il lève les yeux au ciel en ricanant un peu et il secoue la tête de gauche à droite. Elle est insupportable mais c'est sûrement pour cela qu'il la veut dans son équipe on se croirait dans The Voice, The Voice version entreprise. Et il tente tout, le chèque à la somme astronomique, l'annonce de l'abus de pouvoir, mais rien ne marche et il va commencer à être aigri. Vraiment aigri. Il aura encore besin de faire du sport en rentrant. Et il va encore sûrement se prenre la tête avec Cassiopée. Comme d'habitude. « Sauf que je ne suis pas quelque chose qu'on obtient en claquant des doigts. Je suis même une personne qui sait exactement ce qu'elle veut » Il hausse un sourcil, intrigué. Et que veut-elle exactement ? Markus la sonde du regard, et lui offre un sourire plutôt compatissant pour une fois. Histoire de ne pas agir vraiment comme un con et briser toutes ses chances de l'avoir dans son entreprise. Même s'il est plutôt convaincu que l'avoir dans son entreprise équivaut en ce moment à trouver un point d'eau dans le sahara, c'est à dire nul. Mais il espère encore l'imbécile. Mais pour l'instant, il a aussi besoin d'un café. « Si vous voulez un café, il est à votre disposition, vous n'avez qu'à vous servir » Tut faire soi même ici. Il se lève alors pour se servir une boisson chaude après avoir vérifié la propreté des tasses comme le maniaque qu'il est. Et quand il voit que la tasse est propre, il se sert un café dont il en boit une gorgée. Pas assez fort. Infecte. Il dépose alors la tasse sur le plateau comme si de rien était avant de reprendre sa place. « Vous devez connaître ma réputation pour savoir que les horaires aménagés ou pas, ce n'est pas ce qui va être déterminant pour moi » Oui, mais il préfère lui dire que si un jour elle a besoin de partir pour une raison X ou Y, elle peut. Si elle a envie de partir, de ne pas venir, elle peut. Tant de possibilités qu'il est persuadé qu'elle n'a pas ici. Il se contente simplement de secouer la tête positivement. Il comprend, il imprime. Et il tente le diable, il tente le tout pour le tout en lui proposant un dîner. « Que l'on soit bien d'accord sur une chose, vous proposez un dîner à toutes les personnes que vous voulez recruter ? Homme y compris ? Markus prend un visage fermé et tapote sur sa jambe avec sa main. Il s'humidifie les lèvres avant de répondre le plus sérieusement du monde « Bien évidemment. » Ce n'est pas parce qu'il la trouve attirante et très jolie qu'il l'a invité. Non, non, à peine. On y croit. Ou du moins, il essaye d'y croire, parce qu'il paraît que quand on se convainc soi-même, on convainc autrui. C'est ce qu'il pense. « Je pensais avoir une opinion de moi-même qui dépasser l'entendement, mais je peux dire que vous êtes hors catégorie » Et bien, elle commencerait presque à vraiment l'intéresser. Avant, il était simplement curieux. Et maintenant, il veut réellement en savoir plus. « Je ne dînerais pas avec vous, je ne prendrais pas le risque de planter ma carrière pour un poste que vous me promettais et que je n'aurai peut-être jamais » Il soupire et balance sa main au dessus de son épaule pour lui démontrer que ce qu'elle dit, c'est du vent. Et il l'écoute une fois encore. « Je vous le redis, faites moi une véritable proposition et je pourrais considérer votre demande » Markus sort alors une enveloppe qui contient un contrat de tout ce qu'elle pourrait obtenir, le salaire minimum mais avec possibilité d'augmentation. Il lui dépose sur son bureau et il se lève, posant ses deux mains à plat sur le bureau et son regard capte le regard de sa future -ou pas- collègue. « C'est votre choix, Madame Lewandowski. » Pour lui prouver qu'il peut arrêter d'être con parfois. « Vous connaissez mon lieu de travail, ou vous pouvez toujours venir partager un verre de vin chez moi. Et non, je ne le propose qu'aux femmes que je trouve intéressante. Celui ci. » Il lui sourit avant de se redresser « Mais sachez que j'aurais grand plaisir à faire collaboration avec vous. »

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Re: What do you want from me ? [Markus] ✻ ( Sam 27 Oct - 22:21 )






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Markus Cubbins pourrait être le roi du monde que je ne le laisserait pas me parler de la sorte, ni pensait qu'un chèque pouvait me faire tomber à ses pieds. Il était le président de l'entreprise concurrent à la mienne. Je n'étais pas dupe et lui encore moins. S'il voulait que je vienne travailler avec lui, c'était uniquement parce que j'étais la meilleure. Dommage pour lui, je n'étais pas à vendre et surtout pas de la manière dont il l'entendait. Il allait devoir faire preuve de beaucoup plus d'imagination et surtout de savoir vivre. Si je devenais son employé – ce qui n'arriverait sûrement jamais – il allait devoir à changer son attitude. J'étais prête à lui laisser le bénéfice du doute et pourtant une nouvelle fois je finissais par sortir les griffes et surtout à me sentir très insultée quand il proposait de m'inviter à dîner.
La proposition aurait pu être sympa, mais avec tout ce qu'il avait fait avant, je ne voyais là qu'une tentative machiste et désespéré de me séduire pour ensuite obtenir ce qu'il voulait de moi. Cela ne marchait pas, j'étais même curieuse de savoir s'il faisait cela avec un homme. J'étais prête à parier que non. J'étais surtout prête à parier qu'il allait nier l'évidence. « Bien évidemment. » Je le regardais en haussant un sourcil. Il voulait vraiment me faire avaler ce genre de couleuvre ? Il croyait quoi ? Que j'étais la blonde du bar à qui il pouvait raconter mont et merveille. « Permettez moi d'en douter » Tout cela dit avec la plus grande courtoisie du monde évidemment. Pourtant même si je voulais rester courtoise et maître de moi-même, la moutarde commençait à me monter au nez, et il était vraiment temps de mettre les choses au clair avec cet homme. J'étais connu pour mon franc parlé, et pour ne pas mâcher mes mots, ce n'était pas avec lui que j'allais commencer à prendre des gants.
Non je ne voulais pas travailler avec lui, surtout pas parce qu'il me proposait un énorme chèque. Il allait devoir me faire une véritable proposition avant de me faire signer quelque chose. Surtout qu'est ce que j'avais a y gagner ? Absolument rien. J'avais déjà une très bonne place dans mon entreprise actuelle et surtout d'ici quelques années, j'allais sûrement pouvoir passer vice-présidente. Un poste que Markus Cubbins ne pourrait sûrement jamais m'offrir. Quand j'aurai une véritable demande, alors peut-être que je pourrais y réfléchir sérieusement. Mais pas avant. Pour moi la suite de cet entretien était très clair, il n'avait plus qu'à prendre la porte. Cependant c'était bien connu que les hommes aimaient avoir le dernier mot. En l'occurrence c'était le dernier geste parce qu'il déposait une enveloppe avant de se lever. C'était qu'il y mettait les formes en plus. Je restais sagement assise attendant de voir ce qu'il avait à dire. « C'est votre choix, Madame Lewandowski. » Et je n'allais certainement pas revenir la dessus. « Vous connaissez mon lieu de travail, ou vous pouvez toujours venir partager un verre de vin chez moi. Et non, je ne le propose qu'aux femmes que je trouve intéressante. Celui ci. » Je devrais me sentir flattée par le fait qu'il me trouvait intéressante, pourtant  ce n'était pas le cas, je trouvais même que c'était encore une tentative désespérée de me faire accepter quelque chose que je ne voulais pas. « Vous n'avez vraiment peur de rien. » Ce qui était une bonne chose dans notre métier. « Je suis quand même curieuse de savoir si votre numéro de charme fonctionne vraiment » J'y étais complètement insensible et pourtant j'étais sûre qu'avec des femmes naïves cela devait fonctionner à merveille. « Mais sachez que j'aurais grand plaisir à faire collaboration avec vous. » Il espérait peut-être que je lui divulgue les secrets de mon entreprise ? « Quand j'aurai du temps, j'étudierais votre proposition » Si dans l'enveloppe, c'était bien ce que je pensais être, je ferais surtout étudier tout cela par mon avocat. « En attendant, vous connaissez le chemin jusqu'à la sortie, j'ai du boulot et vous aussi sûrement » D'un geste du bras je lui présentais la merveilleuse porte. « Bonne journée à vous Monsieur Cubbins »





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