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Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ?

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‹ OUR FAMILY IS A HAPPY ONE.
Matthew Rhodes

Matthew Rhodes
( ‹ OUR FAMILY IS A HAPPY ONE. )
›› Cap Harbor since : 25/11/2018
›› Commérages : 189
›› Pseudo : Bichon
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Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ? ✻ ( Dim 25 Aoû - 12:45 )


«Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ?»


A ta santé Jack A ta santé Jack
La soirée se poursuivait tranquillement, tout le monde semblait s'amuser, que ce soit dans les activités proposées ou sur la piste de danse. Il avait ouvert avec sa mère celle ci, qui semblait tellement heureuse que sur le point de pleurer à chaque instant mais la dignité de la matriarche des Rhodes était telle qu'on ne pouvait pas imaginer qu'elle se laisse aller. Vint ensuite la conversation redondante sur les amour de son fils ainé, il resta vague, mentionnant les quelques flirts qu'il avait deci delà, sans trouver la perle qu'il présenterait à sa mère. Ce n'est pas qu'il manquait d'occasion, c'était qu'il demandait bien plus qu'il n'était possible d'en demander à celle qui partagerait sa vie. Sa mère continuait de se lamenter à son bras alors qu'ils dansaient qu'elle voudrait des petites enfants pour les gâter. Si ce n'était que cela, Matthieu envisageait fortement l'adoption en option. Ainsi sa mère serait heureuse, cependant s'occuper d'un enfant n'était pas forcément compatible avec son emploi du temps. Ou alors prendre une jeune fille au pair pour s'occuper du gamin ? L'envie d'avoir une famille n'était pas tellement pressante pour lui, il n'imaginait pas être un père exemplaire, doutait même de parvenir à apprécier suffisamment quelqu'un autant que les siens pour rendre heureuse qui que ce soit d'autres qu'une Rhodes. Enfin la danse se termina et il put raccompagner sa mère au bras de son père qui se fit à son tour sermonner de discuter affaire avec des actionnaires au lieu de danser.

Il adressa un sourire compatissant à son paternel avant de partir à la recherche de sa soeur. Celle ci c'était absentée peu de temps avant, mais il lui semblait long, surtout qu'il se chargeait de tout seul. Quand il dut se charger d'aller voir où en était les réserves de boissons il se surpris à soupirer, logiquement il n'aurait pas eut à courir, il aurait eut à quoi exactement ? Il s'était attendu à ce que sa soeur passe la soirée avec lui ? A danser peut être avec elle ? Il se sermonna avant de se rendre dans les coulisses du lieux pour vérifier les bouteilles et la livraison en cours. Il signa les bons et repartit quand il aperçu un couple sortir d'une pièce annexe. Il allait faire un détour pour ne pas les déranger quand la tenue, le maintien et l'allure de la jeune femme l'interpella. Il se figea dans l'ombre, invisible du duo alors que Natalia était bien trop proche pour  cet homme marié ne soit qu'un ami. La main sur sa manche et tout dans son attitude montrait l'attachement qu'elle avait pour lui, et réciproquement. Il se rendit alors compte qu'il connaissait de nom au moins l'inconnu. De cela il en était sur et certain, ce n'était pas un autre homme que Pearson qui enlaçait sa soeur avant de s'en séparer pour partir dans la salle. Stupéfié par le couple il resta anéanti de sa découverte avant de se décider à parler, d'une voix qu'il lui sembla amère et déçue il s'adressa à sa soeur encore dans le couloir.

« Encore je me disais que cela te prenais longtemps pour juste te repoudrer le nez. »

Il aurait pu faire abstraction de l'aventure qu'il semblait y avoir entre ces deux là, mais il ne pouvait concevoir que la seule soirée à laquelle il aurait pu s'afficher avec elle à son bras n'était qu'un prétexte pour elle de retrouver cet autre homme. Tout de la raideur de son maintien à sa voix dure et tranchante montrait combien elle venait de le blesser, il serra son stylo toujours en main et le rangea dans sa veste avant d'avancer vers elle. Le mieux serait d'en rester là, préférant passer et l'ignorer que ce lancer dans une discussion dont il regretterait surement les mots qui y seraient prononcés.
© Asaëlle


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Re: Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ? ✻ ( Ven 30 Aoû - 22:42 )



Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ?
MATTHEW ☽I'm sorry for breakin' all the promises that I wasn't around to keep and it's all me. This time is the last time I will ever beg you to stay but you're already on your way, I can't make it alive on my own but if you have to go, then please girl just leave me alone 'Cause I don't want to see you and me going our separate ways begging you to stay if it isn't too late.




Elle aurait voulu que le temps ne reparte pas, elle aurait voulu rester contre lui jusqu’à la fin de la soirée plutôt qu’il ne raccroche soi disant le téléphone avec son appel professionnel. Un appel professionnel, cette excuse lui reste en travers de la gorge à Natalia et pourtant, c’est la boule qui grossit au fond de sa gorge qui prend toute la place. Elle a du mal à se dire qu’elle ne le reverra sûrement plus de la soirée, qu’elle devra supporter la vue de lui, contre sa femme, lui qui danse avec sa femme, ses mains placées à l’endroit où elles devraient être au lieu d’être contre sa peau à elle. Natalia a un poil de jalousie qui s’éveille en elle et elle soupire alors qu’elle dépose ses lèvres contre celles d’hélios pour la dernière fois de la soirée, effacant toute trace d’elle sur les lèvres de l’homme politique. Elle a disparue de la surface de sa terre. Elle a disparue de son monde comme elle disparait quand il claque la porte de son appartement où quand il la laisse dans la chambre d’hôtel parce qu’il est pressé, quand il reboutonne ses manches et qu’il remet sa veste avant de partir. Natalia reste un instant contre lui et elle plonge son regard dans celui du brun « Profite de cette soirée, j’espère qu’elle te plaira. » Et elle lui murmure un merci, de quoi le remercie t-elle d’ailleurs ? Puis ils sortent tout les deux, prennent un risque inconsidéré avant qu’il ne la prenne dans ses bras et Natalia se retient de fondre en larmes. Elle n’a pas le droit, pas ce soir, alors qu’elle ouvre sa pochette pour la récupèrer, elle entend la voix de son frère qui s’élève et elle sent son coeur qui tambourine dans sa poitrine, son regard qui se relève de sa pochette comme une gamine prise en faute en train de faire une bêtise. Et quelle bêtise. Est-ce qu’il les a vu ? Est-ce qu’il les a aperçu ? Et surtout, qu’est-ce qu’il a vu ? Ce n’est pas le tout de savoir s’il a vu, c’est surtout de savoir ce qu’il pourrait dire, s’il pourrait faire tout exploser en un instant. En un claquement de doigt, mais Matthew n’est pas comme ça. Natalia a confiance en lui. Elle se pince alors l’intérieur de la joue et réfléchit à ce qu’elle pourrait dire. Mais son ton était bien trop sec pour qu’il ait été aveugle sur ce coup-là. « Monsieur Pearson m’a proposé de faire un important financement pour le centre de Mère. » se défend t-elle fébrilement en se rapprochant de Matthew et posant une main sur son avant-bras. Un sourire tremblant se dresse sur ses lèvres maquillées et elle attrape le miroir dans sa pochette pour regarder l’état de son rouge à lèvre qui est manquant. Elle le récupère alors pour le retoucher avant de regarder son frère, toujours trop peu d’assurance présente dans le corps. « Je suis désolée de t’avoir abandonné. Je me ferais pardonné d’accord ? On en est où ? Les invités sont contents ? » Natalia récupère le masque pour se le remettre sur le visage et elle reste dos à son frère « Tu m’aides à le rattacher ? » Et le temps s’étire et l’aîné Rhodes ne fait rien alors Natalia se retourne « Qu’est-ce qu’il y a ? » Elle sait ce qu’il y a, mais au fond, retirez le pansement d’un coup, ne pas attendre. Et pourtant, elle sait que ça va faire mal Natalia, elle a peur, mais elle est prête.
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Re: Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ? ✻ ( Sam 12 Oct - 12:37 )


«Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ?»


A ta santé Jack A ta santé Jack
Il sait qu'il n'a aucuns droits sur ce qu'elle peut faire de sa vie, mais là, un scandale qui pourrait tâcher la réputation de leur parents alors qu'ils fêtent tant d'année de complicité et d'amour. Il est au bord de l'implosion et aurait préféré en rester là. Parce qu'elle a le droit d'avoir une vie en dehors de la famille, parce que si elle veut batifoler avec des hommes mariés cela la regarde elle, pas lui. Pourtant cette morsure dans son être il n'arrive pas cette fois à l'ignorer, à l'apaiser. C'est l'excuse qu'elle apporte qui le fait piler net, ose t elle vraiment vendre ses charmes pour intéresser les gens aux oeuvres de leur mère ? Non, elle n'est pas comme cela tout de même ? Elle ne va pas voir les hommes mariés ou non et écarter les jambes contre une donation ? Il en reste stupéfait, tellement qu'il n'a sur le coup aucunes réponses à donner, la main sur son avant bras le brûlant au fer rouge malgré les vêtements qui le sépare de la paume de la jeune femme. Il revient à l'instant présent alors qu'elle lui parle, babillant de choses qui n'ont plus d'importances à cet instant précis. Il fixe du regard les rubans alors qu'il se voit très bien les serrer autour du cou de sa soeur pour .. Pour quoi faire exactement, ses mains tremblent au bout de ses bras alors qu'il essaie tant bien que mal de conserver son calme légendaire. Apparences, les conserver, ils sont dans un lieu public, réserver pour fêter une vie d'amour et d'efforts pour une communauté. Alors qu'elle ose lui demander ce qu'il y a il sent en lui les digues prêtes à rompre et relâche sa respiration qu'il retient depuis combien de temps? Il n'en a aucune idée mais le soupir et l'inspiration longue qui suivent le laisse prendre conscience de combien il est prêt à perdre le contrôle de lui même. Il aurait préféré ne pas lui répondre, ne pas assister à cet échange bras dans l'un et de l'autre, il aurait préféré s'illusionner longtemps encore mais la gifle est trop violente pour laisser passer l'affront. Avec la raideur et la condescendance appropriée à son sens il ouvre la bouche.

« Ce qu'il y a ? Voyons, mettons les choses simplement à plat n'est ce pas ? Inutile de lancer tes bobards, je ne suis pas notre mère. »

Parce que la matriarche des Rhodes est compassion, compréhension, et surtout œillets placé aux bons endroits, que ce soit pour ne pas voir les défauts de la plus jeune, ou pour ne pas imaginer le pire de ses enfants ? Sa voix est dénuée de toute tonalité, comme celle qu'aurait un robot alors qu'il toise et juge sa cadette sans aucune compassion.

« Que tu t'envoies en l'air avec qui tu veux cela te regardes, que tu le fasses à une soirée m'indiffère également, que l'on puisse te surprendre, c'est cela que je ne cautionne pas. As-tu seulement imaginer des répercutions sur nos parents ? As tu réfléchis au mal que cela ferait à la réputation de notre famille ? Un homme marié Natalia ! Sa femme est dans la salle, à quoi penses tu donc ? »

Il sait que ces mots sont plus le reflet de ce qu'il ressens lui que réellement un danger, le couloir était désert, lui même ne s'y trouvait que parce qu'il organise cet événement. Il a la rage au coeur, ce dernier au bord des lèvres, il a envie de briser quelque chose avant de détourner le regard de sa soeur, comme si la simple vue de celle-ci l'indispose. Il sait qu'il ne doit pas lâcher la colère qu'il a en lui à cet instant mais ses soupapes tremblent elles aussi d'envie de vider la pression. Ses yeux se posent sur le masque, qu'il a fait venir à grand frais, qu'il a fait assortir à la tenue de sa soeur, ces efforts vains lui sautent aux yeux. Le plus stupide dans l'histoire c'est lui, il va devoir simplement détruire ce qu'il n'a pas su étouffer depuis trop longtemps, il lui prend le masque des mains, son besoin de destruction prenant le pas sur le reste, l’étoffe se déchire dans ses mains avant qu'il ne le jette au sol devant sa cadette.

« Va refaire ton maquillage, on ne voit que cela que tu t'es laissée aller, les toilettes sont par là. Inutile de remettre le masque ou de faire bonne figure, si tu veux rentrer chez toi, pas de problème, je me chargerais seul du reste de la soirée. »

Il sait qu'il n'a pas le droit de faire cela, mais la colère est mauvaise conseillère, la haine son seul carburant à ce moment et s'excuser ne lui viendra pas à l'esprit, ni sur l'injustice de ses propos, ni sur la destruction de l'article de prix qu'il vient de déchirer. Il retire son masque à son tour et le déchire en deux également, prêt à aller trouver une poubelle pour s'en défaire, ne voulant plus avoir le moindre point commun de tenue avec sa soeur.

© Asaëlle


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Re: Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ? ✻ ( Dim 13 Oct - 13:36 )



Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ?
MATTHEW ☽I'm sorry for breakin' all the promises that I wasn't around to keep and it's all me. This time is the last time I will ever beg you to stay but you're already on your way, I can't make it alive on my own but if you have to go, then please girl just leave me alone 'Cause I don't want to see you and me going our separate ways begging you to stay if it isn't too late.




Quand elle avait vu son frère dans ce couloir alors qu’ils venaient simplement de se séparer avec Helios, Natalia avait eu l’impression que la terre se morceler sous ses pieds, mais elle gardait une contenance. Elle imaginait tellement de choses, elle imaginait tellement de mots qu’il pouvait lui dire et elle avait mal au coeur. Elle avait prit tellement de précautions que le jour où elle avait relâcher un peu la bride, elle s’était fait avoir comme une bleue, comme une imbécile et elle se détestait. Elle avait peur qu’il aille voir Helios, qu’il aille lui faire la morale alors que tout cela c’était de sa faute à elle, et non pas à lui. C’est à cause d’elle que tout a commencé et voilà que maintenant, elle a dû mal à se dire que c’est une bonne idée. Pourtant Helios le lui rappelle souvent, que ça ira, qu’ils iront bien. Mais elle essaye de faire comme si tout allait bien, comme s’il n’y avait rien et elle demande à son frère ce qu’il a, parce qu’elle voit bien que quelque chose cloche, il est trop silencieux, il se contient trop, elle le connaît. Elle déglutit quand il lui répond. « Matthew… » le supplie t-elle alors qu’elle le regarde, les mains commençant légèrement à trembler, elle qui pensait que cette soirée se passerait bien, il fallait que le nom d’Helios suivi de sa femme soit rajouté pour que tout parte en live. Elle soupire et se tourne pour ne pas regarder son frère quand il lui lâche la bombe, elle serre les poings. S’envoyer en l’air, si seulement c’était si simple, si seulement c’était si facile. Un coup comme ça, un coup pour se faire plaisir et rien d’autre. Mais Natalia en a marre de passer ses nuits seules, elle a envie qu’il soit là Helios, tout le temps. Ce n’est pas simplement s’envoyer en l’air. Elle sent que la moutarde lui monte au nez et elle déglutit en se retournant vers son frère « Qu’on me surprenne ? Jusqu’à preuve du contraire c’est un couloir où les invités n’ont pas accès. Je ne suis pas assez idiote pour aller me faire sauter comme une catin de bas étage dans les toilettes accessibles au public. Parce que c’est bien ce que tu penses non ? Que ta petite soeur est une catin qui écarte ses jambes pour avoir un peu plus d’argent pour ses parents. » Elle serre un peu plus les poings et elle a l’impression que ses ongles sont en train de transpercer sa peau. « A quoi je pense ? Je ne pense à rien, je ne pense qu’à me faire sauter. Idiote que je suis. » Elle secoue la tête négativement avant de se mordre violemment la lèvre. Et elle regarde le masque qu’il vient de lui jeter aux pieds, le coeur martèle dans ses tempes. Un voile se dresse sur ses yeux, de la colère, de l’appréhension, plus de la colère que de l’appréhension. « Je me suis laissé aller ? Mais de quoi tu parles ? Je n’ai pas couché avec. Tu ne comprends donc rien. » Elle siffle de mécontentement et elle ramasse les morceaux de son masque avant de les ranger rageusement dans sa pochette, les mains qui ne contrôlent plus rien. « Je ne me suis pas laissé aller avec lui, tu chercherais à comprendre, tu comprendrais que c’est plus qu’une sombre histoire de cul. Désolée d’être tombé amoureuse d’un homme marié. Mais entre une fille qui se tape un homme marié, un fils qui n’est même pas foutu de faire comprendre à son père qu’il ne veut pas se fiancer à quelqu’un qu’il n’aime pas et une gamine qui se détruit à n’importe quelle heure de la journée, on ne peut pas parler de famille. » Elle avance de quelques pas pour se rapprocher de son frère « Pourquoi t’es en colère comme ça ? Pourquoi tu m’en veux autant ? Tu m’aimerais comme un frère aime sa soeur, tu essaierais de comprendre, tu n’es pas dans ma tête Matthew, tu n’es pas dans ma putain de tête. Je ne savais pas qu’il viendrait ce soir, j’ai voulu qu’on se voit pour lui dire que c’était une mauvaise idée, qu’on devait arrêter, je sais que sa femme est dans la salle et si tu savais comme je m’en veux d’être celle qu’il cache… » Elle lève les yeux au ciel, pour essuyer une larme qui vient de rouler sur sa joue « Je pensais que tu comprendrais, j’avais confiance en toi Matthew. Mais visiblement, je ne suis qu’une paria à tes yeux. Alors peut-être que je devrais rentrer effectivement. Mais j’ai pas envie qu’on se quitte sur une mauvaise note. »
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Re: Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ? ✻ ( Dim 13 Oct - 18:23 )


«Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ?»


A ta santé Jack A ta santé Jack
Elle a raison sur ce point, qu'on la surprenne n'était pas possible, logiquement personne n'aurait du être là, lui autant qu'elle, si ce n'est pour traverser ce couloir. Il a mal, et fait mal en retour, égoïstement, aveuglé par ce qu'il refuse d'admettre, par ce qu'il se cache. Sa colère n'est pas forcément dirigé contre sa soeur, plus contre le sort, celui qui a voulut lui jeter en pleine face qu'elle est adulte, et responsable. Enfin pas tant que cela, avec un homme marié . Il ne comprend pas, il n'est pas stupide, il voit tous les jours et lit suffisamment de scripts pour connaître ce genre de situation. Dans un livre, c'est plus simple, on referme l'ouvrage ou on saute le chapitre si on n'apprécie pas ce genre de pratique. Il serre les lèvres quand elle accuse ses pensées d'imaginer ce qu'elle fait contre de l'argent, il ne veut pas le croire, parce que Natalia, aussi folle et têtue soit elle n'est pas de ce style là. Et s'il se trompait simplement ? Si c’était cet homme qui la faisait chanter ? Il ne comprenait pas en effet, il ne saisissait pas, il préférait partir dans ses propres conclusions, ce qui n'était pas ordinaire chez lui. Seuls ses membres de famille proche pouvait le pousser à la déraison. Alors qu'elle ramasse ce qui reste de son masque il n'est qu'à un pas d'aller rattraper l'homme politique pour lui massacrer le nez de son poing de faire chanter sa petite soeur quand elle rajoute ce qu'il ne faut pas. Elle aime cet homme, bien qu'il soit à une autre, et se cache, ou se retrouve à devoir se cacher. Ce sentiment là, il peut le comprendre, il pourrait si la jalousie ne l'aveuglait pas tant. Cependant il ne le fait pas, parce qu'il ne le peut pas, ou ne le veut pas. Les œillères braquées sur ses yeux, il se retourne vers elle alors qu'elle semble sur le point de pleurer. Si proche, et pourtant si inaccessible, alors que l'autre veinard n'a pas seulement une épouse mais une maîtresse également. Il en aurait rit de dérision s'il n'était pas si blessé. Comprendre, qu'elle demande cela à un membre de leur famille qui le pouvait, lui s'y refusait, qu'elle se gâche ainsi le révoltait, sa colère se reportant sur l'homme qu'elle avait choisit. Elle avait comblé quelque peu la distance entre eux, lui n'avait qu'une envie c'était envoyer la soirée aux oubliettes, et rentrer. Elle voulait comprendre, qu'il soit un frère pour elle ? Il pouvait mettre un masque de plus, après tout, il pouvait contenir, faire semblant un peu plus. « Je suis en colère parce que je pensais que tu étais plus apte à te rendre compte qu'il y a des choses qui ne se font pas. » Sous entendu plus que leur petite soeur. Comme forniquer même par amour avec quelqu'un d'engagé ailleurs mais remuer encore une fois le couteau dans la plaie n'était pas vraiment dans le masque. « Je pensais que ce soir je pourrais ne pas avoir honte de ma famille. » C'était bas, c'était injuste, et c'était faux, il n'avait pas honte il avait envie de détruire le monde entier. « Bon sang Nat, je me doute bien que tu n'as pas fait exprès ... Mais honnêtement, tu te fais plus de mal qu'autre chose là. Qu'est ce qu'il t'a promis ? Il te fait chanter ? » Quelque part il aimerait vraiment que ce soit cela, qu'il y ait une sombre histoire là dessous et que sa soeur se trouve coincée, mais il doutait que ce scénario soit le bon. Il sentait qu'il manquait de calme encore dans la voix, il sentait les fragments de son masque lui brûler les doigts et les jeta dans la poubelle en face de lui. « Si c'est pour une promesse de dons pour de vrai, arrête ça tout de suite, je doute que l'argent obtenu de cette façon plaise à notre mère. » Parce qu'il tentait de se sortir cette idée de la tête, il priait presque que ce soit faux, il ne pouvait imaginer que sa soeur se vende contre pièces sonnantes et trébuchantes. « Et si vraiment c'est par amour que vous en venez à vous revoir, alors soit plus intelligente que cela, tu vaux mieux que la femme de l'ombre. » Parce qu'aimer avec désespoir ça, il l'imaginait vraiment bien, trop bien même. « Tu ruines ton maquillage là, va te passer la tête sous l'eau et si tu veux partir discrètement je t'appelle un taxi si tu préfères ne pas assister à la suite. » Sous entendu les danses de couples dans lesquels elle ne pourrait peut être pas s'empêcher de chercher quelqu'un. Quelqu'un qui n'était, et ne serait jamais lui, il devait au moins admettre cela, il n'aurait jamais autant, il ne serait jamais aussi important dans sa vie, et cela lui faisait bien plus mal que cette fausse compréhension qu'il portait en masque.

© Asaëlle


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Re: Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ? ✻ ( Sam 2 Nov - 16:44 )



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Elle a envie de pleurer Natalia, elle a envie de pleurer et de se cacher. Parce qu’elle a été vu, parce que son frère n’est pas dupe et il a deviné qu’il se passait quelque chose entre Helios et elle, après tout, les joues rosies par le bonheur, ce sourire niais sur le visage, il ne pouvait tromper personne. Il ne pouvait surtout pas tromper son frère, qui connaissait toutes ces mimiques, ses sourires, cette ride du lion qui apparaît quand elle est contrariée, malgré le fait qu’ils sont constamment en compétition, il la connait par coeur. Et le plus terrible dans cette histoire c’est qu’elle n’arrive même pas à lui mentir, elle pourrait continuer, dans son mensonge, que c’était pour de l’argent mais sa pochette est aussi vide d’argent que son coeur est vide de bonheur. Elle est infiniment triste Natalia et elle sait que ça ne passera jamais, à moins qu’il quitte sa femme, mais elle sait que ça, aussi, il ne le fera pas, ou du moins dans l’immédiat. Ou peut-être jamais, et elle sait qu’elle n’aura pas la force de le quitter parce qu’il est là, parce qu’il s’est immiscé dans son coeur et qu’elle a dû mal à se défaire de l’effet que lui procure le sourire d’Helios. Et la dispute qui se profile à l’horizon lui donne autant mal au coeur que si on lui plantait des couteaux dans le coeur. « Des choses qui ne se font pas ? Désolée de ne pas avoir contrôlé le fait que je sois tombée amoureuse de lui. Je n’avais pas prévu ça. » Oh non, qu’elle n’avait pas prévu de tomber amoureuse de lui, bien évidemment que non, elle n’avait pas prévu qu’après ce verre chez elle, qu’après ce moment chez elle, ils se reverraient, mais il faut croire que le destin s’applique à les réunir toujours. Quand il lui dit qu’il a honte, Natalia se recule d’un pas et détourne la tête « Désolée de te faire honte alors. » Ils font mal les mots de Matthew, ils lui font tellement mal qu’elle voudrait partir sans explications, sans lui expliquer le fond de sa pensée. « Il ne m’a rien promis. Et non, il ne me fait pas chanter, ça va pas ? » S’offusque t-elle, elle n’est pas désespérée au point de se faire avoir de la sorte. C’est juste l’amour qui l’anime. Elle a du mal a garder une contenance face à cette conversation et elle soupire Natalia, en levant les yeux au ciel une nouvelle fois en s’humidifiant les lèvres. « Il n’a pas encore fait de dons. » Non, il avait sûrement prévu de le faire alors que sa femme sera à son bras, qu’ils se consulteront sur le montant qu’il offrira au centre de leur mère, ils se regarderont sûrement dans les yeux pour se décider, pendant que Natalia sera là, avec sa coupe de champagne enserrée par des mains tremblantes. Et Natalia, elle ne pourrait qu’assister à la scène en ayant simplement envie de hurler. De hurler qu’elle est la femme de l’ombre comme le rêve depuis quelques temps. Depuis quelques temps, elle rêve qu’ils se font prendre, comme si c’était un rêve prémonitoire. « Si tu savais comme je m’en veux parfois d’être la femme de l’ombre… » elle souffle « mais même quand j’ai envie de tout arrêter, il est tout le temps là Matthew… Il est tout le temps là, dans ma tête, dans le coeur… » Elle souffle avant de sourire un peu quand le calme arrive après la tempête, et elle essuie ses larmes, en passant une main dans ses cheveux bouclés qui pendent. « Non, je peux supporter ça… quoique. Et je t’ai promit une danse non ? » Et Natalia honore toujours ses promesses. Elle ouvre alors ses bras avant de le regarder avec un air de chat potté « Je sais que je ne te réclame jamais de câlin, mais la j’ai besoin d’un câlin de mon grand frère… » C’est rare les moments où elle lui réclame une accolade, mais elle a besoin de son frère pour se donner du courage pour le reste de la soirée, pour faire semblant que tout va bien, alors qu’elle aura sûrement juste envie de hurler.
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Re: Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ? ✻ ( Lun 4 Nov - 16:48 )


«Where have you been ? Does't matter anymore, isn't it ?»


A ta santé Jack A ta santé JackIl avait envie de tout envoyer valser, que ce soit la soirée, les invités ou ses obligations. Il n'avait pas ressentit une telle colère interne depuis i longtemps qu'il peinait à maintenir le masque qu'il affichait maintenant. Pourtant il ne pouvait pas se permettre ce genre de choses, d'une part parce qu'il était conscient qu'il devait au moins sauver les apparences, c'était tout ce qui lui restait à présent. Quand elle répond qu'il n'a pas fait de dons pour le moment, il serre les dents. Parce qu'aux yeux du littéraire il en a déjà fait bien assez de dégâts cet homme politique, et qu'il serait peut être mieux d'ajourner la soirée, au moins pour .. Pour qui exactement ? Leurs parents sont aux anges, leur mère ravie au delà de tout bien qu'il n'ait pas montré autant d’enthousiasme quand elle lui a annoncé avoir quelqu'un à lui présenter. Il revient au présent quand la jeune femme annonce douloureusement combien il lui est difficile d'oublier le politicien. Ça il peut le comprendre, parce que celle qui hante ses pensées bien plus qu'elle ne devrait est devant lui. Mais si lui craque, il ne lui restera rien, parce qu'il doute qu'elle puisse seulement comprendre ce que lui ressent. Lui même refuse de donner le nom exact à l'envie qu'il a d'effacer des lèvres de sa soeur celle de son amant pour les remplacer par les siennes. Quand elle le fixe en ouvrant les bras il a l'impression que l'enfer lui même vient de créer un gouffre juste sous ses pieds. Il n'a jamais été aussi croyant que leur parents aurait voulut qu'il soit, mais là, c'était réellement une épreuve de plus que Lucifer lui offrait. Le plus simple serait de lui refuser cela, de prétexter qu'on pourrait les voir et se tromper sur leur compte, mais la faiblesse humaine est aussi en lui. Il s'entend lui répondre sans même réaliser ce qu'il dit avant que cela n'ait franchit ses lèvres. « Si tu penses que cela te suffiras à affronter la soirée. » Il doit avoir perdu l'esprit, c'est cela, le peu de sainteté d'esprit qu'il avait venait de voler en éclat. Il va s'accorder un dernier instant, avant de prendre des distances de circonstances. Une dernière étreinte mes bras. Ironiquement il se rend compte que son esprit à sortit un réplique originale d'une pièce de théâtre à la fin dramatique. Il comble la distance entre eux et serre sa soeur contre lui, faire semblant qu'il ne fait que céder à son caprice, et pas qu'il meure d'envie de crier son désespoir. Il lui tapote le dos maladroitement, parce qu'il aurait rêvé de tellement plus qui n'arrivera jamais et il s'en fait une raison à cet instant. Parce que de toute façon il n'y a plus rien à attendre, il ferme les yeux alors qu'il respire le parfum suave de sa cadette, seulement c'est sans doute trop pour lui. Il sent ses yeux s'humidifier et lui tapote une dernière fois le dos avant de se reculer, tendant les bras pour la tenir à distance et lui désigner une dernière fois les toilettes au fond du couloir. Il se redresse, son dos raidit et tendu, content d'être à contre jour et qu'elle ne puisse pas lire dans son regard la blessure ouverte en grand dans son âme. « C'est vrai que tu me dois toujours une danse, allez, va rafraîchir ton visage, je t'attend là, on ne peut pas s'absenter tellement plus longtemps, on va remarquer notre absence mutuelle à force. » Il se rattache à ce qu'on sait de lui, que les apparences lui importe vraiment, et même si c'est là le cas, il est à un autre stade d'émotion. Il patiente qu'elle se retourne pour essuyer ses yeux et respirer calmement et profondément plusieurs fois, parce qu'il a besoin de puiser dans des profondeurs de plus en plus lointaines le calme qu'il se doit d'afficher. Il n'attend même plus la danse comme le clou de sa soirée, il n'arrive même plus à se réjouir de cette soirée, et pourtant il affiche un sourire de circonstance. Il affiche ce masque depuis tellement longtemps qu'il doute que quelqu'un découvre seulement un jour que tout ce qu'il fait depuis si longtemps n'est que faux semblant et illusion. Il en rirait de dérision, pourtant c'est le coeur en deuil et les émotions en tumulte qu'il reste dans le couloir à attendre la suite de sa propre sentence. Elle n'a pas décidé d'aimer ? Lui non plus... Il en aurait hurlé de désespoir mais il le ferait seul, plus tard, dans la solitude et l'intimité de son logement....

© Asaëlle


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