ton petit frère, ton bébé d’amour, celui que tu as toujours protéger quand il était petit. mais quand tu as remarqué qu’il était très débrouillard d’un côté ça te réchauffer le coeur mais ça ne t’a pas arrêter de le couver comme votre mère à fait. quand il avait un soucis avec ses cours, c’était vers toi qu’il allait, quand il voulait parler des filles bien sûr que non il ne venait pas te voir, mais tu lui tirait toujours les verres du nez. le moment de ton départ, tu as vue et il ta dit qu’il t’en voulait, t’en voulait d’être partie comme ça sans lui avoir dit t’es plans avec votre frère. il a eu le coeur brisé et à quand même fait la tête pendant plusieurs mois. il ne te parlait plus pour ça, parce qu’il pensait que tu l’avais abandonné pour un monde meilleur, il pensait aussi que c’était lui le fautif. sauf qu’il a vite remarqué que c’était à cause de votre père. il avait prévenu Marco de son arrivé mais pas toi pour le coup. il voulait te faire une surprise et s’en était une belle quand tu l’a vue dans l’appartement de votre frère avec ses valises. tu l’a toujours soutenu, mais principalement quand votre mère est décédé. elle était venu ici pour suivre sa maladie, la “guérir” sauf que c’était trop important, un cancer généralisé dont elle n’a pas survécu. tu as vue ton frère être à ses petits soins, prendre soins d’elle, l’aider pour tout ce qui était de la vie de tous les jours. il le faisait sans broncher, sans se plaindre malgré ses cours derrière d’infirmier. il a été ta plus grande fierté quand il est à débouler chez toi en te disant qu’il a eu son diplôme. fête, mais aussi tu as assisté à la remise des diplômes. tu as toujours été fière de ton petit frère. quand il t’a annoncé qu’il repartait pour faire de l’humanitaire tu la encourager, pousser à y aller. même si tu n’avais pas trop de nouvelle, tu savais qu’il était toujours en vie. un peu comme un instinct maternelle. c’est le jour où il t’a appeler pour te dire qu’il allait être papa que tu as débarquée à Palerme pour rencontrer, où plutôt revoir son ex-petite amie qu’il a toujours aimer. tu était la tante la plus heureuse, mais aussi tu savais qu’ils allaient faire de bon parents. c’est à ce moment là que tu as cru qu’il allait rester sur les terres italiennes pour toujours. mais non, six mois après la naissance de la petite il a t’appeler pour te dire qu’il revenait au pays qu’avec la petite. il ne t’en dis pas plus, mais te demande simplement de remettre en ordre l’appartement qu’il avait avec des affaires de bébé… c’est à son arrivé que tu sera là vérité. Aurélia est décédé à l’accouchement et qu’il n’arrive pas a supporter ça. quand il sait inscrit au cours de médecine tu l’a soutenu encore et toujours. tu es et tu restera la grande soeur protectrice avec lui.

ton grand frère, lui était le protecteur de vous deux. malgré ses conneries mais aussi le fait qu’il soit une tête dure un peu comme votre père tu ne lui en voulait pas. il te sauvait un peu de toute les situations, à l’école quand tu avais des problèmes, devant les parents où plutôt votre père quand il en avait après toi. quand il ta parler de partir du pays, de le suivre pour que tu aies une vie meilleure mais aussi que tu puisses faire les études que tu voulais tu n’as pas dis non. Vous vous êtes un peu enfuis du pays pour pouvoir vivre votre vie. Vous avez vécu ensemble le temps que tu te trouve un boulot, tu l’aidais quand tu faisais des petits jobs pour vivre, payé tes études mais aussi l’aider à payer même s’il ne voulait pas. c’est la tête de mule de la famille. vous êtes resté très proche malgré tout ce qu’il peut vous arriver.

à voir avec la miss pour votre lien !